Roy Andersson explore les ravages de l’épidémie du sida dans une succession de tableaux absurdes et glaçants. En 1987, alors que l’épidémie progresse, le Conseil national de la sa...
“ Une vie de monotonie abrutissante et déshumanisante, régie par la peur. Le remède, s'il en existe, est de l'exprimer. Brillant Andersson ”— Mathrouzaud 8 mai 2015
“ Morceaux choisis d'une piteuse déliquescence contemporaine, un certain programme du pire sur les ruines d'un passé déjà fécond de brutalités ”— ianov 4 novembre 2016
“ Séquences glaçantes où s’enracine le malaise de la déshumanisation ordinaire. Figures de l’insensible effacement du sens de la vie. ”— cath4416 novembre 2016