Barry Nelson est un acteur américain, né Robert Haakon Nielson (héritage scandinave) à San Francisco en Californie, le 16 avril 1917. Il a reçu un diplôme de l'université de la Californie chez Berkeley en 1941 et a presque immédiatement signé chez MGM pour des films. à rôles secondaires sérieux (dont L'Ombre de l'Introuvable, Dr. Kildare's Victory, etc.). Ses débuts à Broadway en 1943 fut remarqués dans la pièce de Moss Hart (Winged Victory) et un an plus tard il apparait comme "le Caporal Barry Nelson" dans l'adaptation cinématographique en 1944. Dans les années de l'après-guerre, il perd de sa cote mais le compense dans le théâtre, apparaissant dans une corde (série) de succès de New York incluant "la Foire d'empoigne" et "la Lune est Bleue. À la TV, en plus d'apparitions dans une série de drame, "Cadeaux d'Alfred Hitchcock" (1955), et un épisode mémorable de la "Zone de Crépuscules" (1959), il a parsemé les étoiles dans la série "le Chasseur" (1952), une aventure de Guerre froide et "Mon Mari Préféré" (1953), dans lequel il a joué le camarade de travail (le second). Dans les années 1960, il a continué à démontrer son talent, mais pas dans des films, bien qu'il soit vraiment apparu dans l'adaptation cinématographique de "Mary, Mary" avec Barbara Bel Geddes (avec Debbie Reynolds reprenant ce rôle), mais il n'a pas été favorablement reçu. Les années 1970 ont été une très bonne décennie pour lui dans le théâtre, avec "Seascape", "les Conquêtes normandes" et Liza Minnelli "l'Acte". Et un rôle dans le film à grand succès l'Aéroport (1970) mais relativement peu pour solidifier un statut d'acteur principal. Barry Nelson est décédé le 7 avril 2007.
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“ A cause de Kubrick, j'ai peur des couloirs, des bains, et de mon père. Même mon ami Tony arrive pas à me raisonner. Merci Stanley. ”— ProfilSupprime17 septembre 2011
“ all work and no play makes louetdad a dull girl-all work and no play makes louetdad a dull girl-all work and no play makes louetdad a dull.. ”— louetdad 4 novembre 2013
“ Kubrick ramène l'horreur à son essence, les obsessions hantent chaque couloirs, le présent redouble le passé. Symétrie, lumière et folie. ”— Apocalypse1215 mars 2014
“ Film labyrinthique, Shining illustre génialement le goût de Kubrick pour la géométrie. Un film tout entier composé d'effrayants motifs. ”— IMtheRookie23 mars 2011