William Christopher MacDonald est le fondateur de la société MacDonald Tobacco de Montréal. La première manufacture de tabac de MacDonald se trouvait sur la rue de la Commune. Dès 1871, elle employait plus de 500 personnes. À la faveur de l'industrialisation, Montréal devint un centre de fabrication de tabac à pipe, de tabac à chiquer et de cigares. En 1875, William Christopher MacDonald bâtit dans l'est de Montréal une nouvelle usine de tabac, la plus grande au pays. Il fut l'un des grands philanthrope de son époque, principalement au niveau de la modernisation de l'Université McGill, dont il finança la construction et les coûts d'exploitation des pavillons de physique, de génie et de chimie, ainsi que d'un édifice pour l'association étudiante. Sa plus spectaculaire contribution en matière d'éducation fut sans doute le Campus MacDonald, qu'il fit construire. Les dons qu'il fit au cours de sa vie sont estimés à 15 000 000 $, dont 13 000 000 $ versés à l'Université McGill. Il était célibataire et vivait dans une des résidences les plus modestes (terrasse Prince of Wales) du Mille carré doré de Montréal. À sa mort, William Christopher MacDonald légua aux fils de son assistant, David Stewart, une entreprise d'une valeur estimée de $20 000 000. Ses importantes contributions philanthropiques se sont perpétuées par l'intermédiaire de la Fondation MacDonald Stewart, que lui et la famille de son assistant avaient mise en place.
Le sauvetage fort spectaculaire de leurs parents a valu à Juni et Carmen de faire partie des espions les plus réputés du métier. Ils sont à présent chargés d'une mission des plus p...
Adapté du livre de Ted Huges, "The Iron Man", qui avait inventé ce récit pour consoler ses deux jeunes enfants de la disparition précoce de leur mère, la poètesse américaine Sylvia...
After a young boy is almost runover by a maniac on a highway, a re-encounter and confrontation by the boy's father with the driver sets off conflicts with a carful of maniacs.
“ Brad Bird forge une amitié eternelle, alliant humour et poésie à merveille. Difficile de ne pas fondre devant ce travail d'orfèvre... Nickel ”— maitre_seb19 mars 2014
“ Film d'animation de qualité pour B. Bird avant Les Indestructibles & Ratatouille sur l'innocence comme bouclier contre la haine. Touchant ”— AntoineF 4 mai 2013
“ Bird réussit son 1er bras de fer haut la main. Une reconstitution de références qui fait chaud au cœur. Indestructible et puissant. ”— ProfilSupprime18 mars 2014
“ Un chef d'oeuvre d'animation, où la beauté de la relation entre cet enfant et ce robot pourrait servir d'exemple à bien des réalisateurs. ”— chtounet28 mars 2013