Dans ces lieux où on se côtoie sans jamais se rencontrer. Où la musique gère la pulsion des corps. Il danse, lui, son fiancé, le regard tourné vers lui-même. Il ne la regarde pas. ...
“ A pleurer les larmes dingues, d'un corps que je t'avais donné. Je sens des bous et débande. L'amour comme un boomerang. ”— IMtheRookie24 septembre 2012
Dans ces lieux où on se côtoie sans jamais se rencontrer. Où la musique gère la pulsion des corps. Il danse, lui, son fiancé, le regard tourné vers lui-même. Il ne la regarde pas. ...