Michael Cullen, est un commerçant américain, considéré comme l'inventeur du supermarché. Fils d'émigrés irlandais, et ancien employé de Kroger, il ouvre en août 1930 un supermarché "King Kullen" à New York, dans un ancien garage du Queens. Cullen y amasse des tonnes de marchandises avancées par un ami grossiste. Il reprend aussi à bon compte les stocks que ne parviennent pas à écouler des fabricants, pris à la gorge par la crise économique. Il ne met en place ni vitrine ni comptoir, et empile les cartons de lessive, les caisses de conserves et les casiers à bouteilles les uns sur les autres. Les cageots de fruits et légumes sont posés à même le sol. Libre-service, présentation sommaire, "tout sous le même toit", large choix vendus 40% moins chers que ses concurrents, publicités dans la presse : les bases du concept du supermarché sont posés. Le succès est rapide. À sa mort en avril 1936, à 52 ans, Michael Cullen exploitait une cinquantaine de supermarchés.
Margot, écrivain à succès installée à New York, rend visite, en compagnie de son fils Claude, à sa soeur Pauline, qui vit dans la maison où toutes deux ont grandi. Pauline est sur ...
“ A la fin, c'est comme si le cinéaste acceptait de se laisser dépasser par la véracité de ses personnages. Ou par la grâce qui les rapproche. ”— Telerama 8 août 2013
“ Si les films anti-peine capitale sont légion, Tim Robbins instille, ici, une touche spirituelle profonde prenant à revers la loi du Talion. ”— j_lepavous25 août 2013
“ La Dernière Marche est difficile à monter. Robbins oscille entre gêne et rire de cette prise d'otage émotionnelle. Trop facile et irritant. ”— TJ_McFly30 janvier 2014
“ T. Robbins s'attaque à un sujet brulant et difficile, et donne à Susan Sarandon, jadis sa femme, l'un de ses plus beau rôle : prodigieuse ! ”— WalterMitty23 août 2014
“ Drôle, cruel et parfois inquiétant, "Margot va au mariage" teste les liens familiaux dans une comédie dramatique qui a du caractère. ”— Sushi_Overdose18 septembre 2013