Né à Cheapside, à Londres, il est le septième enfant et le quatrième fils de Nicholas Herrick, un orfèvre prospère. Il est probable qu'il ait fréquenté l'école de Westminster. En 1607, il devient l'apprenti de son oncle, Sir William Herrick, orfèvre et bijoutier du roi. Son apprentissage se termine au bout de six ans à peine, et Herrick, alors âgé de vingt-deux ans, est admis au Saint John's College, à Cambridge, d'où il sort diplômé en 1617. Robert Herrick devient alors un membre des Sons of Ben, un groupe de poètes royalistes (les Cavalier Poets partisans de Charles Ier pendant la guerre civile) admirateurs des oeuvres de Ben Jonson. Aux alentours de 1627, il entre dans les ordres et, ayant été nommé chapelain du Duc de Buckingham, il accompagne celui-ci dans son expédition désastreuse à l'Île de Ré. Il devient vicaire de la paroisse de Dean Prior, dans le comté de Devon, en 1629, emploi qu'il occupera trente-et-un ans. C'est pendant sa vie de reclus dans la campagne du Devon qu'il écrit quelques-unes de ses meilleures oeuvres. Au début de la première révolution anglaise, il est renvoyé de son poste pour avoir refusé de prêter serment à la Solemn League and Covenant, un mouvement presbytérien radical. Il repart alors à Londres. Sa position lui est restituée à la Restauration de Charles II et il retourne au Devon en 1662, où il vit jusqu'à sa mort en 1674. Herrick fut un célibataire durant sa vie entière, et la plupart des femmes qu'il nomme dans ses poèmes sont sans doute fictives. Sa réputation repose sur ses Hesperides, un recueil de poésie lyrique, et Noble Numbers, un recueil d'oeuvres sprituelles, publiés conjointement en 1648. Il est connu pour son style paillard et ses nombreuses allusions à l'acte d'amour et au corps féminin. Dans l'un de ses plus célèbres poèmes, « To the Virgins, to Make Much of Time », dont le thème est identique à celui du non moins célèbre poème de Ronsard, Mignonne, allons voir si la rose, Herrick rappelle aux jeunes femmes la fugacité de leur beauté. La première strophe est la suivante :
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“ Paradoxalement c'est en anéantissant le métal que Michael Bay le rend chair et humanise ainsi Transformers 3. Il y détruit ce qu'il a créé. ”— bonnemort29 juin 2011
“ Malgré des SFX parfaits et le joli minois d'E.Lilly, le film est trop "formaté Disney" pour emporter l'adhésion. A réserver aux plus jeunes. ”— RegisX27 août 2013