Un orphelin de guerre est trouvé dans les rues de Tokyo et est envoyé en pension chez une veuve d'une cinquantaine d'années, Tané. Ayant du mal à supporter la présence de cet enfan...
Lors d'un voyage où il encadre les jeunes élèves de son collège, un drame survient. Alors qu'il est en train de jouer au go avec l'autre professeur, un groupe d'élève part faire sa...
La belle Reiko, danseuse à l’opéra d’Asakusa, subit les pressions de son entourage qui voudrait en faire la maîtresse d’un nouveau riche ayant fait fortune dans la sidérurgie. Ses...
“ Quintessence du cinéma d'Ozu : amertume du souvenir, violence du sentiment, aliénation de la modernité, hébétude du lien social. Nô future! ”— lebateausobre 6 mars 2014
“ Cette touchante histoire de pseudo-adoption aurait tout du conte si la peinture sociale de l'après-guerre n'en était pas aussi précise. ”— Kikuchiyo14 avril 2014
“ Les plans "vides" sont les réceptacles d'émotions que trop de choses étouffent. Devoir, respect, maîtrise, patriotisme, abnégation...AMOUR ! ”— Kikuchiyo13 avril 2014
“ Pas abouti sur tous les plans (notamment techniques), ce mélodrame l'est assurément sur celui de l'émotion, gonflée d'indignation sociale. ”— Kikuchiyo11 avril 2014
“ Au sein d'un groupe, Ozu cristallise un drame avec une patience qui crée l'attente autant qu'elle permet une belle montée d'émotion... ”— Kikuchiyo13 avril 2014