Une jeune femme qui a été évacuée à Hokkaido avec sa famille en temps de guerre reçoit une demande en mariage du fils du chef du village, mais refuse en raison de ses actes barbare...
Un soldat démobilisé devient ouvrier à la journée dans une équipe de construction de routes, et sa femme travaille pour augmenter leurs revenus. Leur modeste rêve est de voir grand...
“ Ozu, le Spielberg Japonais ! Donner vie à une simple tranche de vie tient du talent, chômage, famille et solidarité sont sujets ! ”— AkirhanSoliste18 janvier 2015
“ Quintessence du cinéma d'Ozu : amertume du souvenir, violence du sentiment, aliénation de la modernité, hébétude du lien social. Nô future! ”— lebateausobre 6 mars 2014
“ Cette touchante histoire de pseudo-adoption aurait tout du conte si la peinture sociale de l'après-guerre n'en était pas aussi précise. ”— Kikuchiyo14 avril 2014
“ Les plans "vides" sont les réceptacles d'émotions que trop de choses étouffent. Devoir, respect, maîtrise, patriotisme, abnégation...AMOUR ! ”— Kikuchiyo13 avril 2014
“ Trouvant en l'enfance un regard oblique sur les rapports sociaux, Ozu capte tranquillement l'innocence résignée face à la marche du monde. ”— Kikuchiyo12 avril 2014