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A 70 ans passés, malgré un handicap toujours plus contraignant, hérité d'une poliomyélite contractée l'âge de 9 ans, Stephen Dwoskin avait pris la décision de réaliser un nouveau film, le dernier. Celui dont le cinéma n'a cessé de jeter un regard impudique, mi-burlesque mi-pathétique, sur le corps, ses blessures et ses désirs, explore ici le grand âge dans ses moindres détails. Constitué de mille visages, bribes de corps (ceux de ses proches ou d'inconnus), de regards, de scènes de vie et de paysages, le film s'élabore comme un véritable poème sans paroles...