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Édmond Epardaud écrit dans Cinéa-Ciné, le 1er octobre 1928 : « Il fallait l'audace de concevoir et de traiter un tel sujet. Le cinéma n'est pas habitué à une pareille indépendance d'esprit et les aventures gentilles sont davantage son fait. Il faut donc être reconnaissant à Marie-Louise Iribe de cet acte de haute intelligence et de crânerie bien féminine. Son film indique éloquemment que le cinéma peut tout oser et tout exprimer, si on lui donne les moyens matériels et spirituels. »