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Une promesse, une ancienne vièle à tête de cheval détruite et une chanson que l'on croyait perdue conduisent la chanteuse Urna à retourner en Mongolie. Sa grand-mère a été forcée de détruire son cher violon au cours de la révolution culturelle chinoise. L'ancien chant des Mongols, « Les deux chevaux de Gengis Khan », a été gravé sur le manche du violon, seule partie de l'instrument à avoir survécu. Désormais il est temps d'honorer la promesse faite par Urna à sa grand-mère.