Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (MFlorian38) :
MFlorian38
(à propos de Le Cheval de Turin)
“ Une froideur alternée, aridité d'une condition exaspérée, brouillard accaparé. Une terre sans Dieu, d'un épuisement néfaste: nietzschéen. ”
— MFlorian38
7 avril 2021
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kimmylenem
(à propos de Le Cheval de Turin)
“ Quand se profile le crépuscule de nos idoles... Que nous reste-t-il ? La désolation est totale. ”
— kimmylenem
3 avril 2014
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REDACTED
commentaire modéré Bon. Un bol de cacahuètes fera l'affaire je pense.9 avril 2014 Voir la discussion... -
ProfilSupprime
commentaire modéré ouais tu peux prendre des ccacahuètes si tu veux, mais surtout de la sauce barbuc' et des brochettes. Quelqu'un s'occupe de la tiz ? Ricard ?14 avril 2014 Voir la discussion... -
Tayllerand
commentaire modéré C'est "Aurore" et "Richard Wagner à Bayreuth" avec lesquels il faut se promener longtemps.21 septembre 2019 Voir la discussion...
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MFlorian38
(à propos de Le Cheval de Turin)
“ Une froideur alternée, aridité d'une condition exaspérée, brouillard accaparé. Une terre sans Dieu, d'un épuisement néfaste: nietzschéen. ”
— MFlorian38
7 avril 2021
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MFlorian38
commentaire modéré @Vilaboa D'ailleurs, en parlant en Nietzsche, il faudra que j'en lise davantage pour creuser sa philosophie, sa vie, ses pensées pour mieux appréhender une nouvelle lecture phrénologique du film et ses intentions. Mais par quels livres avant tout en tant que débutant ?
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Vilaboa
commentaire modéré @MFlorian38 Ce n'est pas ta MC qui manque de "vitalité", mais le film lui-même qui, en ce sens, n'est pas "nietzschéen"... -
Vilaboa
commentaire modéré @MFlorian38 Concernant les livres de Nietzsche par lesquels commencer, il faut se méfier :
- suivre la simple chronologie conduirait à partir de "La naissance de la tragédie", ce qui serait peut-être un piège car le sujet, très spécialisé, peut paraître austère (même si le livre reste important et la Grèce une permanente référence pour notre philosophe)
- partir des textes célèbres peut entraîner des malentendus : le fameux "Ainsi parlait Zarathoustra" est magnifiquement poétique mais nécessite à mon avis de déjà connaître l'esprit et l'orientation de l'oeuvre sous peine de se perdre...
- tout simplement, je conseillerais "Le crépuscule des idoles" ! En attendant tout le reste...
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JoChapeau
(à propos de Le Cheval de Turin)
“ Un film dépressif et désespéré, où les animaux sont mieux considérés que les humains. On y sent le dégoût de tout, mais c'est fascinant. ”
— JoChapeau
5 décembre 2011
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zephsk
commentaire modéré Je te rejoins sur la manipulation au cinéma.
Cela étant, je suis allé faire un tour sur Moshi Moshi Ciné et je n'ai vu nulle part les propos que tu prêtes aux critiques sur Haneke.
Il n'est jamais question de "morale" (ni même du concept de manipulation que j'ai évoqué d'ailleurs) mais parfois de l'empreinte rhétorique et de la mise en exergue de l'aspect théorique.
En ce qui me concerne, pour le peu que j'en ai vu, je ne discerne pas de "vision du monde" commune aux deux réalisateurs.
Je ne perçois d'ailleurs pas du tout une "vision du monde", mais des œuvres singulières, avec des histoires et des personnages particuliers.
J'ai par ailleurs un ressenti parfaitement différent face à leurs films.
Je les distinguerais même absolument, essentiellement sur l'importance accordée au respect d'une trame narrative chez Haneke et l'aspect ludique et/ou démonstratif de son cinéma, absents chez Tarr, entre autres oppositions franches de forme et de fond. -
Cladthom
commentaire modéré Mate Satantango et tu comprendras ce que je veux dire... mais bon je veux pas rentrer dans cette comparaison (j'avoue c'est quelque part un mauvais exemple), mais c'est plus pour parler de la "responsabilité" au cinéma que certains aiment prôner comme jugement critique et morale sur certains films alors que chez d'autres, c'est absent.
Et je trouve Tarr parfois bien démonstratif... on voit très bien ce qu'il veut montrer, et les intentions sont parfois bien placardées derrière la poésie qui peut s'en dégager. Mais c'est un autre sujet. -
zephsk
commentaire modéré Oui, je dois admettre que je brasse un peu l'air en parlant de Bela Tarr alors que je n'ai vu qu'un film de lui ^^.
Et je te rejoins également sur l'aspect agaçant du moralisme de certains spectateurs/critiques, bien que le "deux poids deux mesures" (la mauvaise foi ?) que tu évoques me semble être un trait qui nous affecte tous un jour ou l'autre. ^^
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Lajos Kovacs
Mihály Ráday
