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Micro-critique star (NTosic) :
NTosic
(à propos de Rush Hour)
“ Trop de Chris Tucker et pas assez de Jackie Chan au final. Divertissant tout de même. ”
— NTosic
5 janvier 2021
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NTosic(à propos de Rush Hour)“ Trop de Chris Tucker et pas assez de Jackie Chan au final. Divertissant tout de même. ” — NTosic 5 janvier 2021
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orloff(à propos de Rush Hour)“ Hey dis, mec ! C'est toi qu'Aniki, mon bro' !? Une heure de rush sur 1h41. Hystérique cool & zen frigide dans la loi de Murphy ! ” — orloff 6 juillet 2022
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goodfeles(à propos de Rush Hour)“ Un Buddy Movie qui se repose exclusivement sur la rencontre Jackie Chan/Chris Tucker assez plaisant où l'humour cabotin reste l'Arme Fatale. ” — goodfeles 3 janvier 2021
Je regrette l'absence des films de kung-fu mais aussi des films capes et d'épées, genre important de notre cinéma qui n'existe plus non plus. Tout ça concerne mes regrets pour le domaine du divertissement grand public avec des moyens.
Maintenant par rapport à ton commentaire, il y a toujours eu un aspect industriel au cinéma. C'est ce qui en fait un art complexe, beaucoup plus sujet aux impératifs commerciaux, mais qui donnent de la beauté aux films "galère" (documentaire, court, film indépendant, cinéma de guérilla, expérimental). Un art de l'expression personnel mais aussi un art du spectacle avec le soucis du public (ce qui n'est pas dénué de noblesse comme la danse ou le cirque). Le cinéma c'est tout à la fois c'est assez dingue.
Entièrement d'accord pour les choix des salles. C'est ça le truc sinon des petits films libres y en a potentiellement.
Le cinéma de genre est balisé mais je pardonne un peu, il doit digérer un siècle de cinéma et c'est probablement plus dur de se défaire de codes pré établis ou de se renouveler.
Ce qui me saoule c'est que dans un certain cinéma "indépendant" ou d'auteur il y a une certaine uniformisation. Ils parlent tous des mêmes sujets de la manière, je le constate un peu au Festival de Deauville, pour le cinéma américain. Pour le cinéma français je vais avoir tendance à dire c'était mieux avant et on va me prendre pour un vieux con réac à 30 ans leaule.
Je voudrais rebondir sur une toute dernière chose même si je digresse : ce qui fait que pour moi le cinéma est dans sa globalité (commercial, indépendant ce que tu veux) un peu mort c'est à cause de l'absence de grain. Les images à la fois trop nettes et ternes d'aujourd'hui m'éloignent du côté "charnel" que je peux avoir avec un film. Difficile à expliquer.