Dans les faubourgs de N’djaména au Tchad, Amina vit seule avec Maria, sa fille unique de quinze ans. Son monde déjà fragile s’écroule le jour où elle découvre que sa fille est ence...
Alors que sa jambe paralysée devrait l'exclure de tout, Grigris, 25 ans, se rêve en danseur. Un défi. Mais son rêve se brise lorsque son oncle tombe gravement malade. Pour le sauve...
“ Grisgris, beau film de gangsters tchadien qui calque son rythme sur la démarche singulière de son héros. Maladroit et souverain. ”— IMtheRookie22 mai 2013
“ Saleh-Haroun fait de son homme qui boite (de nuit) le héros d'un film noir lumineux, ténébreux, dans un Tchad beau à pleurer. ”— tomsias19 juillet 2013
“ Le cinéaste tente un renouvellement de son cinéma par un mélange des genres qui ne parvient jamais à dépasser le stade d’agrégat d’idées. ”— CourteFocale22 décembre 2013
“ Trois ans après UN HOMME QUI CRIE, Haroun signe GRIGRIS, une fable singulière dans laquelle le corps des personnages s’exprime à leur insu. ”— Accreds25 juin 2013
“ Les films du Tchadien ont toujours cette douceur assurée, cette manière de regarder sans jamais forcer l’adhésion du spectateur. ”— cahierscinema10 juillet 2013