“ Pialat capte un quotidien morne et une génération triste et sans espoir, mais le fait sans mépris, avec honnêteté, justesse et réalisme. ”— LeoL 7 mars 2013
“ Pialat, en mode mineur, filme le désœuvrement au petit bonheur. Il manque un fil conducteur à ces (jolies) scènes pour solidifier l'ensemble ”— A_Nos_Amours17 janvier 2015
“ Le désenchantement et sa saisie sans tapage fascinent. Sinon, ça a quand même des airs de brouillon mal foutu des deux opus suivants... ”— Kikuchiyo 8 mars 2013