Ne supportant plus l’environnement familial et après avoir intégré une étrange communauté sur Internet, Noriko Shimabara, le 10 décembre 2001, quitte Toyokawa pour Tokyo. Le 26 mai...
“ Éperdument amoureux, Sion Sono offre à leurs journaux intimes le pastel des mémoires d'outre-tombe. Et sous les scènes, coulent les veines. ”— zephsk26 février 2015
“ Subtile perdition japonaise du lien vital. Débridé, chacun cherche à se relier. A tout ou n'importe quoi, et surtout n'importe comment. ”— Zoreilfilm 8 avril 2016
“ Sion Sono fait imploser la structure familiale japonaise traditionnelle pour mettre en avant les trauma d'une génération égarée ! Dérangeant ”— LaGrandeIllusion 7 juin 2016