Ma’Rosa a quatre enfants. Elle tient une petite épicerie dans un quartier pauvre de Manille où tout le monde la connaît et l’apprécie. Pour joindre les deux bouts, elle et son mari...
“ L'immersion naturaliste à même la rue, filmée à la caméra portée, finit par écraser et disperser le récit-choc d'une société corrompue. ”— PharaonDeWinter18 mai 2016
“ La prise de parti pour le personnage de Rosa est parfois gênante voire pénible, car elle est loin d'être innocente et pas très attachante ”— Peter_Parker19 mai 2016
“ Le film brasse des thèmes fétiches de Mendoza, de la corruption des forces policières à l’oppression des classes sociales les plus démunies. ”— AbusDeCine23 mai 2016
“ Les femmes sont belles comme des roses, mais leurs épines sont rétractiles et s'enfoncent dans leur corps quand elles commettent des erreurs ”— ProfilSupprime23 mai 2016
“ Perdu dans l'obscurité des quartiers miséreux de Manille, Mendoza condamne tout espoir et dévore notre pitié, pour une errance rude. ”— theolecarrie24 mai 2016