A quinze ans, Suzanne decouvre avec lucidide et une certaine amertume que ce qu'elle aime faire avec les hommes, c'est l'amour et rien d'autre. Le reste ne serait-il qu'ennui ou il...
“ Les seules amours dignes d'être vécues sont, après celles de Ronsard, celles de Pialat. Sur grand écran, tout devient tétanie et extase. ”— lebateausobre13 mars 2013
“ Réalisme sacral pétrifié dans un cadre familial et pictural. La douceur désinvolte de Sandrine et l'imposante aura de Pialat nous sidère. ”— JZed13 octobre 2013
“ Dès les premiers rayons de soleils inoubliables de son prologue, À nos amours sera comme le sourire de Sandrine : pétrifiant et splendide. ”— IMtheRookie 7 août 2011