Roy Andersson explore les ravages de l’épidémie du sida dans une succession de tableaux absurdes et glaçants. En 1987, alors que l’épidémie progresse, le Conseil national de la sa...
“ C'est du Bunuel en roll-mops ! Hilarant, impertinent & surréaliste. Et techniquement audacieux (plans-séquences longue-durée). Coup de coeur ”— Arch_Stanton 9 janvier 2012
“ Des scénettes glaçantes au service d'1 misanthropie de tous les instants qui cache finalement mal une tendresse désespérée envers l'humanité ”— DickAutoMe23 août 2011
“ Andersson dépeint un monde à l'ouverture d'esprit inversement proportionnelle à la profondeur de champ. Grisant et tellement drôle. ”— tomsias 7 janvier 2013