Kogo Noda (né le 19 novembre 1893, décédé le 23 septembre 1968 à Hakodate, Japon) était un scénariste japonais. Il travailla pour Yasujirō Ozu sur de nombreux films : notamment comme Voyage à Tokyo, en 1953. Il participa également à 13 des 15 films d'après guerre de Yasujirō Ozu.
Un père, veuf, cadre dans une entreprise industrielle vit avec sa fille et son dernier fils. Le soir, après le travail, il retrouve ses amis pour boire du saké dans un café où ils ...
Dialogue impossible entre une fille et sa mère. La jeune fille refuse de se marier pour ne pas laisser sa mère seule. Mais elle pense également que sa mère la pousse au mariage afi...
Minoru et Isamu vivent avec leurs parents dans la banlieue de Tokyo. En rentrant de l'école, ils aiment à s'arrêter chez un voisin qui a la télévision pour regarder des matches de ...
L'arrivée d'une troupe de comédiens met en émoi les habitants d'un tranquille village de pêcheurs. Le destin de cer tains se jouera en même temps que l'ul time représentation de la...
Wataru Hirayama prend très mal l'affront que lui fait sa fille Setsuko en refusant le mariage qu'il a arrangé pour elle. Il va néanmoins rendre visite aux jeunes époux amoureux.
Le père a été quitté par son épouse, l’aînée ne s’entend plus avec son mari et la cadette cherche à se faire avorter en cachette, le père de l’enfant ayant fui ses responsabilités ...
Un couple de personnes âgées rend visite à leurs enfants à Tokyo. D'abord reçus avec les égards qui leur sont dûs, ils deviennent bientôt dérangeants dans leur vie quotidienne.
Noriko, 28 ans, est secrétaire dans une petite compagnie à Tokyo. C’est une jeune femme moderne mais elle vit encore chez ses parents, tout comme son frère, sa femme et ses deux en...
“ La biture, ultime solution pour l'homme vieillissant qui découvre le goût du cassé. Ozu remue, d'un trait épuré, doux, mais fracassant. ”— lebateausobre17 avril 2013
“ Caméra à hauteur de tatami, Ozu filme la désintégration d'une famille et l'évolution des générations en contemplateur efffacé, résigné! ”— georges.b1 3 septembre 2011
“ Le gouffre entre la violence du cynisme pragmatique ordinaire des personnages et la parcimonie narrative d'Ozu est juste vertigineux. ”— juliendg29 juin 2013
“ Par le truchement d'un « vase flottant dans la clarté lunaire », l'Anti-Cinéma 'ozuesque' parvient à signifier toute l'anarchie du monde. ”— mos3n25 août 2012
“ Un doux regard sur l'homme nippon qui digère lentement la guerre, la modernité et le fossé de générations. On en reprendrait bien un verre. ”— jolafrite 6 juillet 2013