Longtemps oublié par la critique cinéphilique, Michael Winner semble jouir aujourd'hui d'un certain prestige, comme le montre la pléthorique littérature qui lui est consacrée. On se rapportera en particulier à l'ouvrage coordonné par Xavier Mendick : Shocking Cinema of the Seventies (Noir Press, 2002) - sur les films de genre des années 70 en général et sur Michael Winner en particulier - sans oublier la publication en format poche de ses mémoires (Winner takes all) et l'ouvrage canonique de Jean-Baptiste Thoret sur le cinéma américain des seventies. Preuve supplémentaire, si besoin était,un mémoire de master 1 lui a d'ailleurs été consacré : Michael Winner ou le cinéma de l'après Frontière(Université Paris 7 Denis Diderot, mai 2006).Mémoire assez iconoclaste, quoique de facture très classique, auquel on pourrait reprocher la trop grande abondance de citations, péché mignon de ce genre de travaux ; iconoclaste dans sa manière de traiter le cinéaste à travers la vaste et vague question de la frontière, frontière s'entendant au sens turnerien (la frontière civilisationnelle d'où la majuscule du titre mais pas que(celle du fantastique y est traité, travaillé, questionnée à travers une étude détaillée de La Sentinelle des maudits, une des deux seules incursions de Winner dans le fantastique - l'autre étant Le Corrupteur, bien que ce soit un surnaturel naturalisé, cartésien, rationnel, contrarié)....
Le portrait tout en muscles et en moustache de l'acteur Charles Bronson (1921-2003), un paradoxe aussi attachant que taiseux, devenu malgré lui l'icône d'une Amérique violente et p...
Pauvres et vivant d’arnaques, deux compères William Burke et William Hare découvrent par hasard qu’un cadavre frais peut leur rapporter beaucoup d’argent. A cette époque, Édimbourg...
Dirty Weekend est un film britannique réalisé par Michael Winner, sorti en 1993. Il s'agit de l'adaptation cinématographique du roman du même nom écrit en 1991 par Helen Zahavi....
Deux voleurs quinquagénaires, aidés par une jeune cambrioleuse, profitent de leurs ressemblances avec deux grands scientifiques pour monter une escroquerie.
Une aventure d'Hercule Poirot. Emily Boynton est la belle-mère des 3 enfants Boynton qu’elle tyrannise en profitant du fait que son mari décédé lui a laissé par testament le contr...
Depuis que Paul Kersey a perdu toute sa famille lors d'une agression, il a pris l'habitude de rendre justice lui-même. Il se fait un devoir de débusquer les meurtriers plus vite qu...
Terrées dans la cave, la jeune Christie et sa mère, Karen, sont à la merci des assassins. Christie savait que cela se terminerait comme ça... Que son beau-père voulait tuer sa mère...
Sir Ralph Skelton est sur un petit nuage. Il va se marier avec une jolie jeune fille à peine sortie de l'enfance dont il s'est occupé depuis sa prime jeunesse et qui porte le doux ...
“ La "série Ustinov" est une trahison de A. Christie mais le charme rétro joue à plein. Winner a du métier et, même, quelques idées de cinéma. ”— snakeplissken14 juillet 2012
“ Michael Winner n'a aucune réputation artistique, c'est le pire des services pour un très bon film d'espionnage qui restera méconnu. Hélas. ”— Arch_Stanton15 juillet 2013
“ Un petit Winner dans la veine des films d'espionnage paranoïaques des années 70. Vieux espions vs jeunes loups. Pas mal. ”— ayearinmovies 3 novembre 2014
“ M. Winner a pété un câble, si le film s'avère parfois un nanar presque drôle, il est triste de voir Bronson cachetonner dans cette merde. ”— jenanaipa 7 août 2015
“ M. Winner profite de la misère de la production et des incohérences du scénario pour contredire l’ambigüité du premier. S’assumer enfin ? ”— clemgeo29 mars 2017