Perrine Michel naît à Albi (Tarn) en 1977.
Elle commence à pratiquer la photographie en 1994, lorsque qu'elle entreprend ses études
de cinéma à Paris iii, cursus universitaire théorique. Elle rencontre le cinéma documentaire
en 1998 d'abord à travers les films de Nicolas Philibert sur lequel elle écrit un mémoire de fin
d'études. Elle travaille ensuite dans différentes structures à la coordination, la
programmation ou l'éducation à l'image (Centre Culturel Français à Dakar, Cinémathèque
Française, Cinémas 93, Société des Réalisateurs de Films, association Atis : auteurs de
l'image et du son en Aquitaine). Elle continue la photographie et
commence à s'intéresser de plus en plus à la création sonore, notamment en faisant la prise
de son de plusieurs films documentaires. En 2003, elle réalise un premier court-métrage
documentaire fabriqué uniquement à partir de photographies (Le Pêcheur de lune - 25 min -
sélectionné au festival du Cinéma du réel à Beaubourg, Prix Qualité du Centre National du
cinéma et de l'image animée). En 2004, elle suit la formation des Ateliers Varan au cours de
laquelle elle réalise Ouiza, comme au cinéma (23 min - sélectionné au festival Traces de
vies). En 2008, elle commence l'écriture de Lame de fond dans le cadre de l'Atelier
documentaire de la Fémis. Ce projet lui fera découvrir la pratique du collage et le cinéma
d'animation artisanal, disciplines qu'elle continue d'explorer. Par ailleurs, Perrine Michel
mène toujours des ateliers pédagogiques (théoriques et pratiques) autour du cinéma auprès
de différents publics.
On ne vient pas ici pour guérir, mais pour vivre le plus pleinement possible ses derniers jours. Ici, c’est un service de soins palliatifs. Au quotidien, des soignants font corps ...