Pierre Morath

Pierre Morath a 37 ans (en 2008). Il est diplômé en Histoire de l’Université de Genève (1995) et en Management des organisations sportives de l’Université de Lyon I (2001). A la suite de ses études, il mène en parallèle une carrière de sportif de haut niveau en athlétisme et de chercheur en Histoire contemporaine. Entre 1996 et 2003, il publie plusieurs ouvrages sur l’histoire du sport et de l’Olympisme. Egalement attiré par la littérature et l’art, il publie en 2001 un premier roman, « Les voyages de l’absence » (Editions Cabédita) et suit une formation de scénariste à Genève dans le cadre du Cinecursus d’Abderrahmane Bekiekh (rattaché à l’Université de Genève). Entre janvier 2004 et janvier 2007, Pierre Morath se consacre à l’audiovisuel et au cinéma au sein de la société nva21 SA, dont il est actionnaire. En 2005, il écrit, produit et réalise (en co-réalisation avec Nicholas Peart) son premier long métrage : un documentaire de captation tourné dans les coulisses du sport professionnel intitulé « Les règles du jeu ». Le film reste 7 semaines à l’affiche en salles en Suisse romande et est diffusé en novembre 2006 sur la TSR. En 2006, toujours au sein de nva21 SA, Pierre Morath coproduit avec Tarantula Suisse SA et la TSR le film « Togo », dont il est aussi l’auteur et le réalisateur. Cette même année, il produit et réalise également une émission sportive bimensuelle diffusée sur la télévision locale romande Léman Bleu « Snapshot ». En mars 2007, Pierre Morath quitte nva21 SA pour créer sa propre structure de production à Genève : Miroir Prod. Il produit et réalise actuellement un documentaire pour la TSR (Emission Temps Présent) : « Tu seras champion mon fils… » et une émission bi-mensuelle d’enquête et de divertissement pour Léman Bleu « Vivement l’Euro 2008 ! » Egalement journaliste RP, Pierre Morath collabore régulièrement avec la télévision, que ce soit en qualité de consultant (Télévision Suisse romande) ou de JRI-Journaliste reporter images (Léman Bleu télévision et TVRL). Il poursuit aussi des collaborations ponctuelles en tant qu’historien avec des organisations sportives internationales comme le CIO à Lausanne.