Alors que sa jambe paralysée devrait l'exclure de tout, Grigris, 25 ans, se rêve en danseur. Un défi. Mais son rêve se brise lorsque son oncle tombe gravement malade. Pour le sauve...
Le Tchad de nos jours. Adam, la soixantaine, ancien champion de natation est maitre nageur de la piscine d'un hôtel de luxe à N'Djamena. Lors du rachat de l'hôtel par des repreneur...
“ Grisgris, beau film de gangsters tchadien qui calque son rythme sur la démarche singulière de son héros. Maladroit et souverain. ”— IMtheRookie22 mai 2013
“ Saleh-Haroun fait de son homme qui boite (de nuit) le héros d'un film noir lumineux, ténébreux, dans un Tchad beau à pleurer. ”— tomsias19 juillet 2013
“ Ravalement d’un cri : celui d’un pays, celui d’un homme face au silence de Dieu et face à sa propre nature. Symbolique, épuré et fort. ”— Kikuchiyo19 juin 2013
“ Le cinéaste tente un renouvellement de son cinéma par un mélange des genres qui ne parvient jamais à dépasser le stade d’agrégat d’idées. ”— CourteFocale22 décembre 2013
“ Trois ans après UN HOMME QUI CRIE, Haroun signe GRIGRIS, une fable singulière dans laquelle le corps des personnages s’exprime à leur insu. ”— Accreds25 juin 2013