Vodkaster, plus blanc que blanc.

« L'homme qui n'achète pas est un malade, un pervers, aux yeux de celui qui vend ». Voilà pour la théorie, farfelue et visionnaire, développée par Pierre Richard dans Le Distrait dès 1970.

Depuis quelques semaines, vous avez vu fleurir sur Vodkaster des encarts publicitaires, discrets certes mais pas toujours « affinitaires », comme on dit dans le métier. Des pubs pour des abris de piscine, des crèmes contre l'acné, du fromage de chèvre,?

Après cette petite période de test, c'est finalement à la régie pub de Première que nous avons confié le soin de vendre et d'améliorer la pub sur Vodkaster, avec des campagnes plus adaptées, plus intéressantes, et on l'espère, un peu moins moches.

C'est donc cet accord qui explique le récent ravalement de façade de Vodkaster, et le surgissement de la marque Premiere qui va désormais trôner ostensiblement en haut du site, comme un parent bienveillant veillerait son rejeton turbulent.

Mais veiller n'est pas surveiller, et de toutes façons les gamins n'en font qu'à leur tête - et ce n'est pas Vodkaster qui va déroger à cette règle d'or.

Rassurez-vous donc, Vodkaster et Premiere restent parfaitement indépendants, et leurs rédactions aussi : chacune avec sa ligne édito, son style, ses sujets de prédilection, sa liberté. Pour preuve, le traitement pour le moins différent réservé à la sortie du Marsupilami d'Alain Chabat par Premiere et par Vodkaster?

Vodkaster quitte donc une enfance insouciante pour aborder cette nouvelle période de sa vie, une adolescence fougueuse qui se caractérise déjà par une grosse bande d'amis (62.000 abonnés sur Twitter soit le 1er compte ciné en France, oui monsieur !), des polémiques, et bien entendu quelques excès?

Et toute la Vodkaster Team profite de l'occaz pour vous remercier de votre fidélité et votre passion à partager le cinéma que vous aimez. C'est grâce à vous que Vodkaster est désormais à l'avant-garde du traitement du cinéma sur le web - et c'est pas prêt de s'arrêter !