Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (sudroxaz) :
sudroxaz
(à propos de Couleurs de l'incendie)
“ Un héritage parti en fumée. Sous les cendres, une braise qu'un souffle dumasien ravive : le brasier prend. Une épopée romanesque haletante ! ”
— sudroxaz
11 octobre 2022
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cath44
(à propos de Couleurs de l'incendie)
“ Quand la banqueroute ravage les hommes et leur cupidité, la peste brune couve et menace. Une fresque où triomphe l'âme forte des femmes. ”
— cath44
12 octobre 2022
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cath44
commentaire modéré Et pour en retrouver un commentaire intéressant , voir la liste de @bredele https://vodkaster.te...ux-les-films/1386603 qui parle de l’adaptation du livre10 novembre 2022 Voir la discussion...
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bredele
commentaire modéré @cath44 c'est gentil, merci!10 novembre 2022 Voir la discussion... -
J-L.L
commentaire modéré J'aurais plutôt du vous suivre sur "La Conspiration du Caire"... Corniallac fait de la BD en essayant vainement d'égaler Dupontel et puis cette résistance lyrique contre Adolf est malheureusement à mourir de rire25 novembre 2022 Voir la discussion...
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sudroxaz
(à propos de Couleurs de l'incendie)
“ Un héritage parti en fumée. Sous les cendres, une braise qu'un souffle dumasien ravive : le brasier prend. Une épopée romanesque haletante ! ”
— sudroxaz
11 octobre 2022
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sudroxaz
commentaire modéré Dès le plan séquence de la scène d'ouverture, au son des Pêcheurs de perles de Georges Bizet (opéra qu'on retrouve également dans Match Point de W. Allen), j'ai été happé par cet univers. Par cette peinture d'une profusion de personnages dans un monde qu'on sait condamné face à l'échéance à venir. Esseulées au sein d'une foule de technocrates et de crapules en tous genres figurent des femmes fortes parmi lesquelles un phénix mauve et jaune (Léa Drucker). Elle campe une véritable Monte-Cristo des temps modernes, menant une vengeance bien huilée. Au final, Couleurs de l'incendie est un retour en grâce de la Gaumont, dans la lignée d'un Illusions perdues. C'est une fresque superbement interprétée Mention spéciale à Poelvoorde, redoutable dans ce rôle de Gustave Joubert, animé par un dépit amoureux
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Theus
(à propos de Couleurs de l'incendie)
“ En comparaison avec le Dupontel celui ci manque de flamme et de force. Reste un casting honorable pour un film classique et noble. ”
— Theus
14 novembre 2022
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J-L.L
commentaire modéré Carrément largé par Dupontel, Corniallac signe un gentil film décalé, mais sans la flamme - la verve - le superbe casting d'Au Revoir Là-haut !
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J-L.L
commentaire modéré Il serait très intéressant que les Aventures de BORO (Franck & Vautrin) soient aussi adaptées
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Woodystwood
commentaire modéré @J-L.L @Theus Je pense exactement l'inverse de vous deux ! Le Dupontel était très beau mais étouffait l'histoire par excès d'esthétisme baroque. Cornillac, grâce à un style plus sobre, signe à l'inverse un superbe thriller, haletant et subtil. Le fait que Pierre Lemaître soit aussi scénariste dans ce 2e film (contrairement au 1er film) a certainement dû jouer aussi.
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