Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (Jed_Trigado) :
Jed_Trigado
(à propos de Entre le ciel et l'enfer)
“ Du grand Kurosawa, autant film de genre magnifiquement troussé que pensum humaniste bouleversant et intemporel par les thèmes qu'il aborde. ”
— Jed_Trigado
22 mai 2016
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Arch_Stanton
(à propos de Entre le ciel et l'enfer)
“ Il y a ce Purgatoire au sein duquel chacun devra faire ses preuves, apporter son âme et la faire peser pour qu'enfin l'esprit se libère. ”
— Arch_Stanton
27 février 2015
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alexandremathis
commentaire modéré @dr-jaws c'est parce que tu n'as pas noté assez de films. Si tu aimes tous ces films là, mets leur une note, je te parie qu'il entre haut dans ton top.28 février 2015 Voir la discussion... -
ianov
commentaire modéré Superbe Mc pour un superbe Kurosawa! Un peu à côté d'1autre film noir majeur de la période d'Akira : "Les salauds dorment en paix" , cher à mon coeur dans mon panthéon Kurosawaïen. Et y en a tant d'autres....4 mars 2015 Voir la discussion... -
Arch_Stanton
commentaire modéré Intéressant à lire : http://www.dvdclassi...-et-l-enfer-kurosawa23 avril 2016 Voir la discussion...
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Jed_Trigado
(à propos de Entre le ciel et l'enfer)
“ Du grand Kurosawa, autant film de genre magnifiquement troussé que pensum humaniste bouleversant et intemporel par les thèmes qu'il aborde. ”
— Jed_Trigado
22 mai 2016
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cath44
(à propos de Entre le ciel et l'enfer)
“ Dilemme moral dans un huis clos et chasse à l’homme haletante. Kurosawa confronte deux mondes dévorés par les ravages du capitalisme. ”
— cath44
24 octobre 2024
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cath44
commentaire modéré Un film policier brillant et dramatique, scindé en deux parties. La mise en scène est d’une rigueur absolue. Un univers du film noir, avec les classiques du genre. Un sens du rythme et du suspense très hitchcockien. La 1ère partie qui se déroule dans le huis clos d’un appartement cossu dans les hauteurs de la ville. La vie de Gondo , un riche industriel incarné par Toshirō Mifune bascule lorsqu’il apprend la kidnapping de son fils. Il s’avère que les ravisseurs ont fait une erreur et ont enlevé le fils de son chauffeur, tout en exigeant une rançon phénoménale. Il se retrouve devant un dilemme moral, dans une tension psychologique extrême, écartelé entre le devoir de sauver l’enfant que les ravisseurs menacent de tuer et la survie de son entreprise. Gondo doit-il se sacrifier et donc se ruiner pour l’enfant d’un autre ?. La seconde partie du film, haletante, s’ouvre sur l’enquête policière pour retrouver les ravisseurs. La traque du criminel commence dans la ville au sein de ses quartiers déshérités, les bas-fonds. Kurosawa aborde la notion de culpabilité, de sacrifice, explore les injustices sociales et économiques. Aborde une vraie réflexion sur les divisions de classe dans le Japon contemporain et le capitalisme. Kurosawa confronte deux mondes : les hauteurs de la ville, le luxe de ses résidences, les bas-fonds et la misère.
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