Harlequin
(1980)
un film de
Satisfaction communauté 80%
Harlequin

Harlequin

(1980)
un film de
Ce qu'en pense la communauté
  • 80%
  • 23 notes
  • 17 veulent le voir

Micro-critique star (Alan_Smithee) :
Alan_Smithee
(à propos de Harlequin)
Sa note :
Harlequin “ Des entrelacs du fantasmé, sourd le reflet versatile du convoité. Enfant-miroir rapiécé de surréalités, tel est l'Harlequin, Deus ex dévoyé. ” — Alan_Smithee 25 janvier 2019
1 commentaire
  • moviesgeek
    (à propos de Harlequin)
    Sa note :
    Harlequin “ Habile scénario qui mixe la magie et le thriller politique, ce Raspoutine des temps modernes n'a rien perdu de sa férocité, Oz's best ” — moviesgeek 3 janvier 2023
    4 commentaires
    • moviesgeek
      commentaire modéré @Alan_Smithee oui je me fait un cycle Ozploitation en ce moment, pas mal de belles découvertes, Fair Game aussi est bien foutu, j'ai redécouvert Razorback vu sur Canal à l'époque (ou en vhs je ne sais plus ), bien aimé l'ambiance
      4 janvier 2023 Voir la discussion...
    • Alan_Smithee
      commentaire modéré @moviesgeek Ah Razorback... Sa fameuse séquence avec la maison "en kit" : ÉNORME ! Connaissais pas Fair game, je note. Sinon, plus proche de nous, j'ai vu les 2 Wolf Creek. Le 1er est un décalque de slasher lambda, le 2nd tend vers le psycho-killer malaisant à l'humour noir. J'ai vu aussi un truc WTF : Turbo Kid. Une version post-apo du Gang des BMX façon néo-80's !
      4 janvier 2023 Voir la discussion...
    • moviesgeek
      commentaire modéré @Alan_Smithee ah oui je l'ai vu Turbo Kid avec Michael Ironside gros délire, ça sent la production fauchée mais ça a un côté sympathique
      4 janvier 2023 Voir la discussion...
  • Alan_Smithee
    (à propos de Harlequin)
    Sa note :
    Harlequin “ Des entrelacs du fantasmé, sourd le reflet versatile du convoité. Enfant-miroir rapiécé de surréalités, tel est l'Harlequin, Deus ex dévoyé. ” — Alan_Smithee 25 janvier 2019
    1 commentaire
    • Alan_Smithee
      commentaire modéré Une des pépites oubliées de l'Ozploitation. Écrite par Everett de Roche (Patrick, Long week-end, Razorback, Link), on y retrouve également l'inévitable David Hemmings, figure importante du renouveau du Fantastique australien (Thirst, Les traqués de l'an 2000, Le survivant d'un monde parallèle). Entre satire politique et magie noire, un conte étrange à la lisière de la fable philosophique. Un film ambitieux qui vaut bien mieux que ses effets datés et partis pris parfois un peu ridicules. Réalisé par Simon Wincer, l'Orson Welles de cette fin du 20ème siècle (Harley-Davidson et l'homme aux santiags, Sauvez Willy ou encore Crocodile Dundee 3). God bless Australia.
      25 janvier 2019 Voir la discussion...
  • bredele
    (à propos de Harlequin)
    Sa note :
    Harlequin “ La douleur comme le pouvoir n’est qu’une illusion. Pour faire comprendre à un politicien cette morale, la magie est nécessaire. Inquiétant. ” — bredele 3 octobre 2024
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Casting de Harlequin

Infos sur Harlequin

Réalisé par Simon Wincer

Australie - 1h35 - Drame
Sortie le 14 janvier 1981

Synopsis

Le jeune sénateur Rick Rast est appelé à remplacer un homme politique influent, mort dans d'étranges conditions. Au même moment, Gregory Wolfe, un mystérieux inconnu, vient bouleverser son existence...

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