Satisfaction communauté
86%
Bande-annonce
Ce qu'en pense la communauté
- 86%
- 203 notes
- 86 veulent le voir
Micro-critique star (MariaVargas) :
MariaVargas
(à propos de La Femme au portrait)
“ La femme au portrait réveille les instincts endormis & ô combien coupables de Robinson qui tire la Lang de convoitise devant Joan Bennett. ”
— MariaVargas
6 juin 2016
-
ianov(à propos de La Femme au portrait)“ Spirale et délices tentateurs, plongée onirique délictuelle et premiers pas d'un Maître en psychanalyse. Le fantasme était presque parfait ! ” — ianov 9 février 2017
-
bredele9 février 2017 Voir la discussion...
-
ianov9 février 2017 Voir la discussion...
-
bredele9 février 2017 Voir la discussion...
-
-
onurb5(à propos de La Femme au portrait)“ Une fin lamentable. C'est un bon repas gâché par un dessert pourri. C'est le gout du dernier aliment ingurgité qui me reste dans la bouche. ” — onurb5 23 septembre 2014
-
onurb5
-
onurb5
-
onurb5
-
-
cath44(à propos de La Femme au portrait)“ Du désir fait chair à la fatalité fantasmée, Lang superpose la structure du rêve à celle du film noir. Retour du refoulé et culpabilité. ” — cath44 22 février 2024
-
cath44
Dans La Femme au portrait, un homme est victime de son fantasme et est pris dans l’étau puis le piège de la fatalité et vont se multiplier coups de théâtre, spirale infernale et faux semblants dans un film noir qui livre un dénouement final très inattendu.En effet, Lang vient nouer les codes du film noir à la structure inconsciente du rêve et plus encore, aux soubassements inconscients de la culpabilité. La culpabilité pèse sur le personnage du film à cause de ses propres désirs refoulés et il est entraîné vers l’abîme sans rien pouvoir y faire.
Pour ressentir de la culpabilité, il faut l’avoir intériorisée Ce principe d’intériorisation est fondateur en psychanalyse. Le personnage se sent fautif à cause d’un acte qu’il a fantasmé, ou rêvé de commettre. Dans le film, le personnage éprouve cette culpabilité extérieure en regardant le portrait de la femme qui le fait fantasmer. -
cath44
Dans sa période allemande, chez Lang le Mal s'oppose au Bien qui triomphe après une lutte absolue, où la noblesse des sentiments finit par l'emporter, où le sacrifice mène à la rédemption et où les hommes finissent par entrer dans le bon ordre des choses.
-