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La Femme guêpe
(1959)
un film de et
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Satisfaction communauté 40%
La Femme guêpe

La Femme guêpe

(1959)
un film de et
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Micro-critique star (Ochazuke) :
Ochazuke
(à propos de La Femme guêpe)
Sa note :
La Femme guêpe “ Corman essaime d’horreur plastique le désir de l’éternelle jeunesse maquillant l’avilissement. Si le suspense bourdonne, la guêpe tarde. ” — Ochazuke 17 novembre 2020
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  • cath44
    (à propos de La Femme guêpe)
    Sa note :
    La Femme guêpe “ Ni veuve noire ni mante religieuse, mais une femme piégée dans les diktats masculins. Pour une taille de guêpe, la substance est vénéneuse. ” — cath44 il y a 4 jours
    2 commentaires
    • cath44
      commentaire modéré Vu aux jeudis de l'angoisse! Telle la mouche de Cronenberg, avec les thèmes de la mutation, du retour vers la monstruosité, l’histoire atteint un fond dramatique. Ici, la victime est une femme qui pour s’imposer dans un monde d’homme, doit maintenir son apparence : rester belle et jeune. Une crème de beauté issue de la gelée royale de guêpe sera déclencheur de la mutation.
      Si la transformation n’est pas une réussite et le film un peu court ( et paradoxalement long à se mettre en p)lace) ses thèmes sont intemporels. La question de la quête de jeunesse éternelle, des produits miracles qui enrichissent les sociétés, en jouant sur nos angoisses et les exigences sociales, la science qui se fait démiurge. On pense alors au film « the Substance » où l’héroïne s'injecte un produit miracle pour récupérer une meilleure image d'elle-même et correspondre aux exigences. Elle en subit le prix dramatique.
      il y a 4 jours Voir la discussion...
    • cath44
      commentaire modéré Ironie du sort... L'actrice a aussi connu un destin tragique. Roger Corman lui a offert des rôles importants. Puis Susan Cabot a eu une liaison avec le roi Hussein de Jordanie (du temps de sa jeunesse) et a interrompu sa carrière. En 1968, un second mariage ne se passera pas bien et la suite est assez sordide. Elle sombre dans la maladie mentale (crises de paranoïa, tentatives de suicide et délires ). Elle sera retrouvée assassinée à 59 ans après avoir été frappée par son propre fils, qu'elle avait attaqué durant une crise de paranoïa. Il sera acquitté, considéré en état de légitime défense. Ce fils était né avec un handicap ( nanisme) et dans l'enfance , il a subi des injections d’une hormone dérivée de l’hypophyse qui sécrète l’hormone de croissance. Une expérience ratée puisqu'il est mort plus tard Ide la maladie de Creutzfeldt-Jakob.
      il y a 4 jours Voir la discussion...
  • Ochazuke
    (à propos de La Femme guêpe)
    Sa note :
    La Femme guêpe “ Corman essaime d’horreur plastique le désir de l’éternelle jeunesse maquillant l’avilissement. Si le suspense bourdonne, la guêpe tarde. ” — Ochazuke 17 novembre 2020
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  • cineMANbis
    (à propos de La Femme guêpe)
    Sa note :
    La Femme guêpe “ Une bonne petite série B "craignos monster" de papy Roger sur le thème de la fontaine de jouvence. Superbe Susan Cabot dans le rôle-titre. ” — cineMANbis 8 août 2023
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