Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (Sebmagic) :
Sebmagic
(à propos de La Malédiction : l'origine)
“ Une réalisation léchée et des idées visuelles excitantes. Une véritable proposition de cinéma portée par une Nell Tiger Free époustouflante. ”
— Sebmagic
15 avril 2024
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bredele
(à propos de La Malédiction : l'origine)
“ Enfin le mal a sa raison d’être. Il est la condition de l’ordre social et le catholicisme se fait infernal. Ténebra Roma. ”
— bredele
15 avril 2024
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Szerelem
(à propos de La Malédiction : l'origine)
“ Tiger Free donne de sa personne dans ce préquel au scénario prévisible & aux effets parfois impressionnants mais grandiloquents. Honorable. ”
— Szerelem
21 avril 2024
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Sebmagic
commentaire modéré Oui, t'as raison de le rapprocher de Men. Tout dans le visuel et dans le côté faussement subversif, mais finalement si peu sur le fond... J'ai eu les mêmes sensations sur d'autres films récents qui me semblent surfer sur la même vague, comme The Northman. D'ailleurs avec Eggers j'ai aussi des difficultés, même si j'ai adoré The Lighthouse, j'ai détesté The VVitch pour les mêmes raisons que Midsommar and cie. Conjuring j'ai également bien aimé les 2 premiers. Le 3e n'étant plus de Wan, je trouve que c'est une catastrophe. Quant au cinéma d'horreur japonais ou même plus largement asiatique, je n'ai que peu de références. J'ai une impression (un préjugé ?) d'ambiances poisseuses qui ne m'attirent pas. T'as des films à me conseiller ?
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Szerelem
commentaire modéré Euhh oui, en dehors du maître Hideo Nakata (papa de Ring et Dark waters) j'adore Kiyoshi Kurosawa, notamment Cure, Seance et Kairo mais niveau ambiance "poisseuse" - c'est tout a fait le mot, on est au max ^^'
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Sebmagic
commentaire modéré Très bien, je connaissais plus ou moins ces noms mais merci pour les conseils !
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Sebmagic
(à propos de La Malédiction : l'origine)
“ Une réalisation léchée et des idées visuelles excitantes. Une véritable proposition de cinéma portée par une Nell Tiger Free époustouflante. ”
— Sebmagic
15 avril 2024
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Szerelem
commentaire modéré C'est tout ce que je voulais entendre! En tant qu'amatrice de cinéma d'horreur, je n'en peux plus des films de type "l'exorcisme de ceci" et "l'exorcisme de cela", ces films qui abusent des jump scare & dont on a la sensation de voir toujours le même! Je pourrais me laisser tenter alors... mais est ce un problème si je n'ai pas vu les autres titres de la saga?
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Sebmagic
commentaire modéré Je n'ai rien vu de la saga et j'ai tout de même adoré. Alors si t'es amatrice de l'horreur et que t'en as assez de voir toujours les mêmes trucs sortir, fonce ! Celui-ci a quelque chose... Tu m'en diras des nouvelles si tu le tentes.
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Nell Tiger Free
Nicole Sorace
Charles Dance
Anton Alexander
Andrea Arcangeli
María Caballero
Ishtar Currie Wilson
Mia McGovern Zaini
Eva Ras
Rachel Hurd-Wood
Dobrila Stojnic
Mario Opinato
Nicola Garofalo
Sylvia Panacione
Dora Romano
Miodrag Rakočević
Michelangelo Dalisi
Donatella Bartoli
Federica Santoro
James Swanton
Alessandra Fallucchi
Borislav Bogosavac
Dejan Dragosavac
Marial Bajma-Riva
Milena Božić
Guido Quaglione
Eugenia Delbue
Alberto Tierrez
Darko Corovic
Charita Cecamore
Marcello Paesano
Giacomo Henri Dossi
Daniela Barra
Ljiljana Žunić
Andjelko Pavlović
Mina Knežević
Ema Nastić
Mateja Nesovic
Lana Stanojević
Strahinja Despic
Amy Clayton
Amalia Strand
Nigel Dyson
TOUTES les réalités humaines étaient, par le biais des dieux multiples, reliées au sacré, au mystère ultime qui faisait que toutes ces réalités existaient.
Dans cet existant (l'Etre) tout était reconnu, le meilleur comme le pire, le jugement moral et la hiérarchisation des valeurs, évidemment présents, n'intervenant qu'ensuite.
Dans "l'Iliade" par exemple, Arès, dieu de la guerre (vue en tant que violence déchaînée) est condamné par tous, mais nul n'aurait songé à refuser son existence... D'autres dieux ou déesses personnifiaient d'autres visages de la guerre (maîtrise de soi, courage etc.) mais aussi bien sûr les autres faces plus aimables du réel, l'amour, la Cité ou les liens d'amitié et de famille.
Ce n'est qu'avec le judaïsme puis le christianisme que l'idée de Dieu -désormais unique- cessa d'englober l'ensemble du réel, ce qui est peut-être une première forme de désacralisation. Dieu devint moral, un tri a priori devant s'effectuer dans le réel.
Ensuite, du moins en Occident, survint le matérialisme scientifique et la pure explication rationnelle que tu décris. Ils sont illustrés dans ton propos par la psychologie. La désacralisation est alors totale.
Rien ne dure disait Héraclite !