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Micro-critique star (NTosic) :
NTosic
(à propos de Le Monde, la chair et le diable)
“ Des survivants composent avec quelques restes de l'ancien monde : les habitudes ségrégationnistes et la cruelle sélection amoureuse. ”
— NTosic
17 mai 2021
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NTosic
(à propos de Le Monde, la chair et le diable)
“ Des survivants composent avec quelques restes de l'ancien monde : les habitudes ségrégationnistes et la cruelle sélection amoureuse. ”
— NTosic
17 mai 2021
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cath44
(à propos de Le Monde, la chair et le diable)
“ Entre racisme et peur nucléaire, New York devient un no man's land où se joue la tragédie d’un trio amoureux. L’humanité devient légende. ”
— cath44
4 juin 2022
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cath44
commentaire modéré @bredele J’ai encore la vision post apocalyptique de New York complètement désertée. Ces rues vidées de ses habitants, ces détritus qui traînent, les magasins à l’abandon…Des vestiges d'une société et d’une humanité qui semblent t déjà loin, qui fait partie du passé …C’est surréaliste et angoissant…
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cath44
commentaire modéré C’est autant une parabole sur l’humanité, avec tous ses travers qu’une dénonciation du racisme, des préjugés qui aboutissent à la haine et une forme de paranoïa. La dernière scène est impressionnante (les trois survivants marchant main dans la main…)Sinon, j’ai lu que MacDougall ne s’est pas servi de trucages pour les images sur NY Les scènes extérieures ont été tournées dans la rue tôt le matin dès 4h00 avant le réveil de la ville (bien que NY « ne dorme jamais ! ») Il est même parvenu à faire que certaines rues soient bloquées sur un laps de temps suffisant et que l'éclairage municipal soit coupé
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bredele
(à propos de Le Monde, la chair et le diable)
“ Guerre atomique, racisme, amour, la fable n'est pas légère mais étonnamment optimiste. Et puis, même abandonnée N.Y. reste magnifique. ”
— bredele
30 mai 2022
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bredele
commentaire modéré @goodfeles il faudrait comparer Des images de NY pendant la Covid avec celle du film ( le problème c’est les voitures), il y aurait assez peu de changements.
Un film étonnant à bien des égards compte tenu de l'année de sa sortie (1959) : de nombreuses scènes ont été tournées en extérieur ce qui rend la ville de New York vide vraiment vertigineuse.
Ensuite parce que le personnage principal est afro-américain et la situation hors-normes le rapproche d'une survivante blanche avec qui les habitudes de la ségrégation ont du mal à se défaire... Un film qui en présente donc toute son absurdité alors que cette ségrégation justement était encore en vigueur dans la vraie vie (pour quelques années encore). Cette fin du monde est autant l'occasion de replonger dans des temps immémoriaux (lutte entre mâles pour une femelle, formation d'une première société) que d'écrire l'avenir des États-Unis.
Petit bijou de la science-fiction qui ne me semble pas si connu que ça.