Ligne de crédit

(2014)

un film de Salomé Alexi

Ce qu'en pense la communauté

-
4 notes
1 veulent le voir

Micro-critique star (K_Sania) :

(à propos de Ligne de crédit)

Sa note :

“ Par une approche minimaliste, Alexi contracte crédits et regrets d'une aisance dont ne reste aux murs que les taches des tableaux perdus. ” — K_Sania 11 septembre 2020

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K_Sania
(à propos de Ligne de crédit)

Sa note :

“ Par une approche minimaliste, Alexi contracte crédits et regrets d'une aisance dont ne reste aux murs que les taches des tableaux perdus. ” — K_Sania 11 septembre 2020
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AbusDeCine
(à propos de Ligne de crédit)

Sa note :

“ Un petit film sans prétention, transposition dans des Balkans stylisés de la crise des subprimes. Nostalgie de l'opulence passée. ” — AbusDeCine 15 juillet 2015
3 commentaires

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- K_Sania
  
  commentaire modéré Par contre, sans vouloir pinailler, la Géorgie ne se situe pas dans les Balkans mais dans le Caucase en fait.
  10 septembre 2020 Voir la discussion...
- Anna_K
  
  commentaire modéré @K_Sania C'est sans doute la même pétaudière, mais ce n'est pas sur la même latitude :)
  11 septembre 2020 Voir la discussion...
- K_Sania
  
  commentaire modéré @Anna_K En effet, beaucoup de points communs culturels, on peut facilement confondre ;)
  11 septembre 2020 Voir la discussion...
commentaire modéré
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nnb
(à propos de Ligne de crédit)

Sa note :

“ Sobre récit d'un surendettement en Géorgie et beau portrait d'une femme digne et courageuse face à l'adversité. ” — nnb 4 novembre 2018
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Casting de Ligne de crédit

Nino Kasradze

Infos sur Ligne de crédit

Réalisé par Salomé Alexi

Allemagne, France, Géorgie - 1h25
Titre original : Kreditis Limiti

Synopsis

Nino, Géorgienne quadragénaire, mène une vie confortable en Union soviétique, jusqu’au jour où la Géorgie déclare son indépendance. À l’instar de nombreux compatriotes, Nino se résout à contracter un crédit hypothécaire à un taux élevé. Une décision qui l’enfonce peu à peu dans l’endettement et dans un cercle vicieux dont elle est prise au piège. Un destin comparable à celui des 172 300 familles géorgiennes qui ont perdu leur logement entre 2009 et 2013.