Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (AAM16) :
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cath44
(à propos de Madres paralelas)
“ Des spectres de la guerre civile à la transmission mémorielle, Almodóvar noue son drame matriciel aux dilemmes émouvants de la filiation. ”
— cath44
2 décembre 2021
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veroniquevergnau
(à propos de Madres paralelas)
“ Qui oublie les oignons dans la recette de la tortilla, ne s'attire que mes foudres ! ”
— veroniquevergnau
4 décembre 2021
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veroniquevergnau
commentaire modéré @sadoldpunk C'est simple, omelette aux oignons et pommes de terre !
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AlexiaNoise
commentaire modéré Ahah mais non en Espagne y'a deux équipes ! Almodovar doit être de l'équipe sans oignons. -
veroniquevergnau
commentaire modéré @AlexiaNoise Deux équipes peut-être, une pour couper les oignons, l'autre, les pommes de terre !
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Carmen Flores
Israel Elejalde
Adelfa Calvo
Arantxa Aranguren
Trinidad Iglesias
José Javier Domínguez
Daniela Santiago
Inma Ochoa
Milena Smit
Ana Peleteiro
Chema Adeva
Luna Auria Contreras
Agustin Almodovar
Écho aux traumatismes de la guerre civile, il évoque le « Pacte d'oubli » correspondant à la mise en œuvre de procédures de réconciliation nationale fondées sur le consensus et l’amnésie (effaçant les peines politiques prononcées par la dictature et en empêchant le jugement des responsables des crimes du franquisme) lors de la transition démocratique en Espagne ; beaucoup de victimes du franquisme, dénoncent une illusion de réconciliation fondée sur le silence et l’absence de justice rétroactive, puisque les crimes du franquisme restent impunis même s’il s’agit de crime contre l’humanité dit imprescriptibles
Une atmosphère de revanche et de règlements de comptes l'aurait rendu impossible, ou aurait mené à un nouvel affrontement car le régime avait ses soutiens et tous les Espagnols savent que des crimes avaient été commis des deux côtés, comme toujours lors des guerres civiles.
Précision : je suis d'origine espagnole et mon pseudo évoque le village de mes ancêtres quelque part en Galice...
Le temps finit par tous nous tuer et le silence, comme les feuilles mortes, recouvre tout...