Maria no Oyuki
(1935)
un film de
Satisfaction communauté 45%
Maria no Oyuki

Maria no Oyuki

(1935)
un film de
Ce qu'en pense la communauté
  • 45%
  • 16 notes
  • 9 veulent le voir

Micro-critique star (Ochazuke) :
Ochazuke
(à propos de Maria no Oyuki)
Sa note :
Maria no Oyuki “ De la vertu & l’honneur que reste-il ? Du conflit civil émerge l’immonde vanité sociétal entachant les valeureuses courtisanes. Récit acerbe ” — Ochazuke 5 mars 2018
Commenter
  • Ochazuke
    (à propos de Maria no Oyuki)
    Sa note :
    Maria no Oyuki “ De la vertu & l’honneur que reste-il ? Du conflit civil émerge l’immonde vanité sociétal entachant les valeureuses courtisanes. Récit acerbe ” — Ochazuke 5 mars 2018
    Commenter
  • Torrebenn
    (à propos de Oyuki la vierge)
    Sa note :
    Oyuki la vierge “ Y a pas à dire mais le cinéma nippon parlant, sans intertitres, ni benshi, ça va quand même mieux ! Avec une bonne histoire aussi. ” — Torrebenn 12 mars 2012
    7 commentaires
    • Arch_Stanton
      commentaire modéré @Limdebois Merci pour petit topo ! Je vais me pencher sur les 2 artistes que tu me cites. Mais as-tu 2-3 titres à me suggérer afin de m'immerger dans leurs filmos, stp ?
      5 mars 2018 Voir la discussion...
    • Limdebois
      commentaire modéré En muet uniquement tu veux dire ? Parce qu'il n'y aura pas grand-chose vu l'état de ce qu'il reste. La carrière de Makino s'étale sur plus de soixante ans entre les débuts de sa série Roningai en deux partie 1928-29 dont il ne reste que 8 minutes pour la première, la seconde existe mais je ne l'ai pas encore vue (dans les extraits plus haut, c'est typique des mises en scène des films de l'époque : des combats violents, rapides, avec des mouvements de caméra sidérants). Dans ce que j'ai vu il y a également un court disponible : Sôzen-ji baba. Il a fait un nombre incalculable de films qui sont soit perdus soit invisibles, dont des Tange Sazen qui font envie. Daisuke Itô est peut-être plus accessible, en parlant du moins. Dans ses muets, il reste Le Chevalier voleur (Jirokichi the Rat) de 1931. Mais il a fait aussi d'excellents parlants dans les années 50 (enfin au moins dans ce que j'ai pu en voir parce que bien sûr, ce sont des carrières qui s’échelonnent, pour lui en tout cas, sur une quarantaine d'années et c'est du travail à la chaîne) : La Tête du serviteur et Une femme de Meiji (je pense que c'est toutefois inutile de les chercher, j'ai dû les voir à la Maison du Japon. Si on ne parle plus muet mais toujours Tange Sazen, apparemment tu n'aurais pas vu la version la plus connue, et c'est un chef-d'œuvre, là, beaucoup plus disponible que tous ces muets en lambeaux qu'il te sera difficile de te procurer : http://www.vodkaster...lion-de-ryos/1048338 Là c'est le chef-d'œuvre du début du parlant, mélange de comédie et de chambara avec ce personnage maintes fois représenté et qui semble être l'archétype du héros japonais, ronin forcément, du muet (exaltation de l'individualisme naissant dans le pays, toussa, que Tadao Sato disait dans son ouvrage consacré au cinéma japonais... -- exactement au même titre que toutes les versions d'un autre héros crée et rapidement adapté à cette époque Miyamoto Musashi, avec une préférence pour la version de Uchida).
      5 mars 2018 Voir la discussion...
    • Arch_Stanton
      commentaire modéré @Limdebois Merci, j'ai pris plein d'idées de visionnages ! Je vais faire mon maximum pour les voir rapidement. Si je n'y parviens pas, dans tous les cas, ils resteront dans ma ouicheliste.
      6 mars 2018 Voir la discussion...
  • Kronan
    (à propos de Maria no Oyuki)
    Sa note :
    Maria no Oyuki “ "Boule de suif" japonais révoltant et sublime dont la copie atteinte par le temps ne permet pas de juger l'oeuvre telle qu'elle le mérite. ” — Kronan 29 avril 2014
    Commenter
Télérama © 2007-2024 - Tous droits réservés - web1 
Conditions Générales de Vente et d'Utilisation - Confidentialité - Paramétrer les cookies - FAQ (Foire Aux Questions) - Mentions légales -