Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (Anna_K) :
Anna_K
(à propos de Printemps précoce)
“ Implacable mélancolie du héros prisonnier d'une modernité mortifère. Sur qui se reposer ? Sur les vieilles amitiés ? l'épouse rédemptrice ? ”
— Anna_K
19 décembre 2023
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Ochazuke
(à propos de Printemps précoce)
“ Chants braillards d’horizons perdus & filles faciles débordent de la vie cadrée. De l’épouse, la voix du lendemain, son des maux dépassés ? ”
— Ochazuke
6 novembre 2018
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Ochazuke
commentaire modéré *d'horizon perdu sans s et une voie devenu voix en mode plutôt interrogatif ce qui permet un jeu de mot plus évident... ce pourquoi j'ai préféré la reprendre6 novembre 2018 Voir la discussion...
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georges.b1
commentaire modéré @Ochazuke Merci!6 novembre 2018 Voir la discussion... -
Ochazuke
commentaire modéré Merci à toi !6 novembre 2018 Voir la discussion...
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Anna_K
(à propos de Printemps précoce)
“ Implacable mélancolie du héros prisonnier d'une modernité mortifère. Sur qui se reposer ? Sur les vieilles amitiés ? l'épouse rédemptrice ? ”
— Anna_K
19 décembre 2023
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ianov
(à propos de Printemps précoce)
“ Ultime chant des vétérans, toile sociale en mouvement, nouveau règne du col blanc. A l'heure des bascules, Ozu détermine son puzzle humain. ”
— ianov
19 décembre 2023
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ianov
commentaire modéré @Anna_K J'avoue avoir eu plus de peine à parcourir celui ci également. Mais comme toujours, chez Ozu, cela vous rattrape et l'on repense à son agilité dans la composition et le traitement des motifs (et ce n'est pas la première fois que je me surprends à penser à l'art de Zola lui même, composant son petit monde dans un contexte historique donné). D'où l'emploi du verbe "déterminer", Ozu traite lui aussi d'une période bien particulière du japon, et la décortique. Quant à la résilience dont tu parles, c'est vrai , elle est du moins triste et passive. Le pardon tarde à venir, et c'est là le seul enjeu dramatique du film, il serait prêt à se rabougrir, et en finir, partir...et rien ne semble pouvoir venir de lui ...Mais que penses tu de cette dernière scène assez magnifique... du retour de sa femme?, quand elle le rejoint dans cette forme d'exil, les deux corps face à la fenêtre, cette simple réplique, "regarde , il passe un train...,lui de dire : ""en deux heures il pourrait nous ramener à Tokyo" enfin viennent les plans fameux de Ozu, plans de coupe, ces cheminées d'usine qui fument (d'une fumée noire ici....comme un triste)présage) ces deux corps, à nouveau unis dans la seule posture, face à la fenêtre, les bras qui leur tombent, et la musique de fin..... 2h18 valaient bien une scène aussi finement mise en scène.....
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Keiko Kishi
Ryō Ikebe
