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Micro-critique star (rkoster) :
rkoster
(à propos de Robert sans Robert)
“ À entendre ce monteur débiter de telles banalités, on comprend pourquoi le montage doit rester un métier de l'ombre. ”
— rkoster
5 janvier 2014
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rkoster(à propos de Robert sans Robert)“ À entendre ce monteur débiter de telles banalités, on comprend pourquoi le montage doit rester un métier de l'ombre. ” — rkoster 5 janvier 2014
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tintamart(à propos de Robert sans Robert)“ Documentaire passionnant !! Une vraie leçon de cinéma pour un plaisir intense de spectateur !! ” — tintamart 28 novembre 2013
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PaprikaPunch(à propos de Robert sans Robert)“ Relecture mouvante et émouvante ancrée sur une bonne idée, jeu de piste et de mémoire empathique et ludique. Mais ça ne touche guère au but. ” — PaprikaPunch 8 avril 2015
Je précise que @lebateausobre me mentionne parce que je suis monteur.
Si tes justifications en sont vraiment @rkoster, elles montrent simplement que ta MC n'est que bête et méchante, parce qu'un peu hors sujet. J'espère ne pas te vexer en disant ça.
Je suis pas un grand fan de Guédiguian mais j'ai trouvé ce docu sympathique sans être extraordinaire et pour le coup plus original que banal de voir un monteur commenter davantage des relations humaines et la vie d'une vraie troupe de cinéma sur plusieurs dizaines d'années, chose rare, que de faire de l'analyse de raccords. Il le fait dans une scène et c'est largement suffisant.
C'est cette humanité qui rend le cinéma de Guédiguian attachant et je trouve la façon dont le docu met ces années de création commune en perspective plus émouvante que superficielle.
Le cinéma en général, et le travail de monteur en particulier, c'est 90% d'humain et 10% d'artistique et de technique... C'est aussi 99,9% d'ombre et 0,1% de lumière... Personnellement c'est être dans la lumière que je trouve plus superficiel.
Je comprends aussi que ça puisse agacer ce côté "on est une grande famille et on s'adore à la vie à la mort." Le film reflète aussi ce côté naïf et manichéen du cinéma de Guédiguian qui m'agace beaucoup. Mais il se trouve que j'habite à 2 pas de l'Estaque et que je garde une certaine tendresse pour cette bande utopique, malgré son angélisme qui est exagéré.