p Bof
Timecrimes
(2007)
un film de
Bof p
Satisfaction communauté 53%
Timecrimes

Timecrimes

(2007)
un film de
Ce qu'en pense la communauté
  • 53%
  • 114 notes
  • 46 veulent le voir

Micro-critique star (REDACTED) :
REDACTED
(à propos de Timecrimes)
Sa note :
Timecrimes “ Le hiatus spatio-temporel n'est que le râle scénaristique qui couvre l'absence d'enjeux, de personnages et d'émotion. Casse-tête sans tête. ” — REDACTED 24 juillet 2014
5 commentaires
  • REDACTED
    (à propos de Timecrimes)
    Sa note :
    Timecrimes “ Le hiatus spatio-temporel n'est que le râle scénaristique qui couvre l'absence d'enjeux, de personnages et d'émotion. Casse-tête sans tête. ” — REDACTED 24 juillet 2014
    5 commentaires
    • REDACTED
      commentaire modéré verse* plus frontalement
      30 juillet 2014 Voir la discussion...
    • Avideo
      commentaire modéré C'est drôle parce qu'on a des avis différents, et ça en revient à traiter deux films de façon totalement opposées :p
      Je trouve la trame de Triangle ultra prévisible (en 20 minutes j'avais déjà compris, et j'avais deviné la fin), parce qu'elle a déjà été écrite cent fois (c'est sensé être une exagération mais peut-être que ça ne l'est même pas) et qu'elle en perd toute saveur. Des nœuds faciles donc, qui rendent le jeu des acteurs excessif en émotions sachant que les personnages pourraient au moins avoir une intelligence normale et comprendre ce qu'il se passe. Il s'ensuit des situations attendues, aux réactions exagérées et surtout... illogiques. L'illogisme avec des émotions a beaucoup de charme, mais il ne doit pas donner la sensation que le personnage ne réagit pas en accord avec ce qu'il lui arrive, ce qui donne au spectateur une impression de dissociation qui empêche de s'identifier au personnage alors qu'il s'était déjà dissocié de la trame.
      Avec ce petit film pour moi on rentre dans le banal. On comprend les émotions par la mise en scène, par l'histoire et par la réaction du personnage. Effectivement, on ne sait pas si le personnage mangeait ses pâtes avec du jambon en octobre 1978 et si sa tante a un chihuahua nommé Poupy, et à vrai dire on s'en moque. Ce qui nous identifie au personnage c'est ce qu'on peut deviner de son vécu au travers de la scène de début sans nous montrer des situations stéréotypées ridicules aussi intelligentes qu'une pub de voiture où on est sensé accrocher à des sentiments idiots et stériles (l'exemple du couple qui se dispute) et après le film a tellement rien à dire qu'il utilise des événements extérieurs pour orienter un propos léger sur ses situations simplettes et discordantes.
      Là au contraire il y a un problème et une histoire, peut-être que le personnage en a d'autres mais là on est concentré sur ce qu'il arrive. Le personnage est dans une fuite en avant perpétuelle jusqu'à la conclusion, l'urgence se lit dans ses gestes et son visage.
      J'imagine tout de même très bien que pour un esprit qui n'est pas forcément baigné de logique, l'imbrication de Cronocrimenes doit paraître indigeste au point de ne plus comprendre ce qu'on voit et du coup de ne plus comprendre ce que le personnage renvoie.
      25 janvier 2016 Voir la discussion...
    • REDACTED
      commentaire modéré J'ai un peu oublié ces deux films, hein. Bon, moi, les délires spatio-temporels un peu mindfuckés, ce n'est pas vraiment mon délire, c'est généralement du cinéma de petit malin qui laisse au bon vouloir du spectateur le choix de recoller les morceaux après la séance (et donc, pour y parvenir, de revoir 10 fois le film au ralenti). Pour, in fine, pondre une vidéo sur You Tube qui explique tout et qui fait mal à la tête au bout de 30 secondes. J'ai largement préféré Triangle (quitte à certainement le surévaluer, comme beaucoup) non pas pour des raisons de logique (il n'y a au fond aucune logique dans ces machins, sauf celle de la colle et de l'horlogerie...) mais pour des raisons d'émotion, de "laisser-allé" (je n'essayais pas de piger le film, preuve donc que sa mécanique narrative était - en partie -secondaire), de trouble et parce qu'un fond douloureux soupesait l'ensemble. Dans mon souvenir, y régnaient aussi une tension assez palpable, une bonne maîtrise du cadre et des espaces, et des visions assez terrifiantes (l'amoncellement des cadavres, par exemple). Et je m'étais senti assez empathique envers le(s) personnage(s) de Melissa George, dont les réactions ne me paraissaient pas plus "exagérées" ou bizarres que celles du zozo de Timecrimes. A part ça, je ne m'en rappelle plus vraiment, mais j'avais trouvé que c'était une exception à la règle, j'y avais trouvé plus de cœur.
      25 janvier 2016 Voir la discussion...
  • jenanaipa
    (à propos de Timecrimes)
    Sa note :
    Timecrimes “ Étriqué dans son concept qu'il exploite adroitement, le film n'en demeure pas moins très prenant à suivre, et agréablement stressant. ” — jenanaipa 14 juillet 2017
    3 commentaires
    • jenanaipa
      commentaire modéré @matiere thx
      15 juillet 2017 Voir la discussion...
    • bgerentes
      commentaire modéré j'adore le fantastique espagnol quand il vient se frotter à la normalité du quotidien. Film méconnu et surtout mésestimé
      18 juillet 2017 Voir la discussion...
    • jenanaipa
      commentaire modéré @bgerentes Oh oui, il y a une belle génération de réal du fantastique dans ce pays.
      18 juillet 2017 Voir la discussion...
  • ChronociDe
    (à propos de Timecrimes)
    Sa note :
    Timecrimes “ Très ingénieux pour le budget, Vigalondo maîtrise et s'amuse à fond de son idée assez vertigineuse dans une petite série B communicative. ” — ChronociDe 4 avril 2016
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