Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (mllegmx88) :
mllegmx88
(à propos de Trois amies)
“ L'amour, un sujet revu au cinéma dont Emmanuel Mouret parvient à éclore toute la délicatesse et sensibilité. Destins croisés et marivaudage. ”
— mllegmx88
9 novembre 2024
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veroniquevergnau
(à propos de Trois amies)
“ Barcarolle, cascade, amour comme Anamour sonne et résonne en sentiments pudiques, raisonne en flux et reflux de regards, de mots et de sens ”
— veroniquevergnau
7 novembre 2024
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veroniquevergnau
commentaire modéré @Anna_K Marivaux, Musset étaient aussi de leur époque ! Les structures sociales ont changé profondément quoique un conservatisme semble triompher avec Trump, Poutine. Je crois que Mouret nous montre des personnages avec une palette de sentiments variables. Chacun évolueil y a 6 jours Voir la discussion...
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veroniquevergnau
commentaire modéré @Anna_K Pardon fausse manoeuvre ! Les sentiments de chacun évoluent, ce qui me semble de toutes les époques.il y a 6 jours Voir la discussion...
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Anna_K
commentaire modéré @veroniquevergnau De toutes les époques, certes, il n'en reste pas moins que j'ai eu récemment de jeunes collègues (des femmes) qui se séparaient parce qu'elles avaient pris de la distance par rapport à leur compagnon (sic) sans pour autant avoir "rencontré quelqu'un d'autre". Il n'y a pas si longtemps encore, on restait ensemble et parfois la passion évanouie se transformait en autre chose. Nous traversons une époque du "tout à jeter", on ne s'étonnera pas du nombre de femmes qui élèvent seules leurs enfants. Cela étant dit, ce n'est pas pour dédouaner les hommes, ils ne font guère mieux, il n'y a guère que chez les cathos que cela résistent. // Parler de conservatisme en Russie, me semble du plus haut comique, il faut revoir " Faute d'amour" de Zviaguintsev. Les hommes russes, sont de façon générale et pour caricaturer, plutôt machos et mal élevés, d'où la cote du "mâle français".il y a 6 jours Voir la discussion...
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cath44
(à propos de Trois amies)
“ Mouvance du désir, marivaudage, culpabilité et tourments du désamour. Dans la géométrie des sentiments, Mouret dessine sa carte du tendre. ”
— cath44
23 octobre 2024
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cath44
commentaire modéré Un joli film vu au festival Lumière en avant-première. Mouret décline une géométrie sentimentale avec délicatesse. Ses personnages s’entrecroisent, se questionnent, pris dans des tourments du désir (ou son absence) de l’amour et du désamour, des mensonges qu’on se fait à soi ou à l’autre ... Les situations sont parfois complexes et imbriquées les unes dans les autres et confrontent les personnages à leurs doutes, leurs contradictions et leurs atermoiements...Mais c’est bienveillant. On est dans une forme de marivaudage avec des dialogues savoureux. Les actrices sont brillantes( India Hair, Camille Cottin et Sarah Forestier) , tout comme les acteurs (Vincent Macaigne notamment)
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Ragondin44
commentaire modéré Vu au festival de la Roche / Yon (moins loin que Lyon !). C'est quand même mieux qu'Eric Rohmer ! -
veroniquevergnau
commentaire modéré @cath44 J'ai été touchée, entre sourires et larmes, par ces valses hésitations Amour, Anamour, ces mots qui tentent d'atteindre une vérité qui tantôt s'échappe, s'impose. Décidément on entre chez Mouret de plus en plus énamourée, enfin pour ma part.
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Anna_K
(à propos de Trois amies)
“ Ils n'ont aucun style, elles n'ont aucun chic, bien peu de densité. C'est diablement bien vu, un peu morose aussi. Reste un certain panache. ”
— Anna_K
10 novembre 2024
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veroniquevergnau
commentaire modéré @Anna_K Pour ma part, je pourrais qualifier ce style qui en est un style : Bobo, c'est à dire Bourgeois Bohême. Ils se promènent au Parc (de la Tête d'Or), visitent des musées, des cloîtres, des abbayes. Leurs préoccupations (plus que vestimentaires) tournoient entre aspirations amoureuses et désirs. NB : Je pense, j'espère que Sarah Forestier s'est habillée avec ses propres vêtements sans aucune autre intervention !
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Anna_K
commentaire modéré @veroniquevergnau Hi hi ! Oui, j'ai des amis Bobo parisiens, lyonnais, ou montpellierains comme cela, comme Macaigne en parka et cachmire hors de prix, ou pas (s'ils sont profs). Ce désintérêt vestimentaire affiché m'agace toujours un peu. J'ai plus d'appétence pour le style de mes amis autrichiens ou italiens. Cela étant, ce dernier film de Mouret me semble plus abouti que le précédent, même s'il vise le même milieu : il croque avec finesse l'époque -j'ai aussi bien apprécié la MC de @Orangema, il est mélancolique mais drôle aussi, enfin, il rebondit bien à la fin.
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Vincent Macaigne
Camille Cottin
Eric Caravaca
Mathieu Métral
Louise Vallas
Hanaé Alves
Philippe Chareyron
Brice Fournier
Louis Seguin
Laurent Crozet
Laurent Roth
Pauline Andriot
