Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (cinephile54) :
cinephile54
(à propos de Vers le sud)
“ Aborde "tourisme sexuel", désir, manque d'amour, illusions au féminin mais survole la condition des haïtiens pauvres amenés à se prostituer. ”
— cinephile54
4 juillet 2023
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cinephile54
(à propos de Vers le sud)
“ Aborde "tourisme sexuel", désir, manque d'amour, illusions au féminin mais survole la condition des haïtiens pauvres amenés à se prostituer. ”
— cinephile54
4 juillet 2023
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PendaK
commentaire modéré @cinephile54 Pas eu le courage de le voir, encore un peu plus découragée en lisant ta mc.5 juillet 2023 Voir la discussion... -
cinephile54
commentaire modéré @PendaK J'ai pu en voir 2 en ligne (médiathèque) celui-ci m'a interpellée/paupérisation de Haïti, même si Rampling et surtout Karen Young, que je ne connaissais pas, jouent bien des rôles de femmes seules, certes, mais, riches et qui payent pour avoir les faveurs d'un jeune homme..de 18 ans..même si ça semble plus "complexe" que ça..Et j'ai (re)vu aussi "La chair de l'orchidée" trop loin, j'avais zappé le film, je l'ai baissé de 2*, en raison d'un scénario spécial, imbuvable..avec une atmosphère glauque, quasi insupportable (j'ai dû me forcer à aller au bout..)5 juillet 2023 Voir la discussion... -
PendaK
commentaire modéré @cinephile54 Bravo pour le courage ! Mais peut-être est-ce le sentiment que le réalisateur veut provoquer en nous ?5 juillet 2023 Voir la discussion...
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georges.b1
(à propos de Vers le sud)
“ Le tourisme sexuel dans les colonies‚ son rituel quotidien et social‚ parabole sèche et scolaire de l'Occident suceur du sang du Tiers-monde ”
— georges.b1
15 septembre 2018
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IMtheRookie
(à propos de Vers le sud)
“ Transfuge des docu-fictions télégéniques, Vers le sud abuse du format interview et des plans qui font vrais. ”
— IMtheRookie
23 juillet 2011
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IMtheRookie
commentaire modéré Vraiment c'est un film que j'ai détesté. J'en parle plus ici : http://www.findeseance.com/Vers-le-bas -
DickAutoMe
commentaire modéré Bien écrit , comme toujours, mais à mon humble avis tu es complétement passé à côté.
La part interview sert à marquer un triptyque et ne relève en rien du docu-fiction (le film est entièrement dans la fiction, voire le symbolisme) on peut éventuellement les envisager comme des confessions libres (notamment car la voix passe en off et commente les images, en contrepoint souvent du discours).
Quant au point de vue, il est assez respectueux de celui (certes ambigu) de Dany Laferrière, auteur haïtien du roman éponyme. En gros on est plus dans le désir féminin, une dialectique maître esclave qui vole en éclats.
Enfin, je persiste qu'au delà son aspect politique, ce film, somme de solitudes, peut s'envisager comme un réflexion sur le vieillissement des actrices elles-mêmes et de leur rapport aux spectateurs.
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