日本 Pinku Eiga ピンク映画 (le Cinéma rose japonais)
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(1965)1h281 micro-critique | Sa note :Torrebenn“ Et si Takechi avait décidé de nous proposer une suite officieuse de "Rivière noire" ? Dénonciation nerveuse d'une occupation US abusive ... ” — Torrebenn 5 novembre 2018
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Drame | 1h12Synopsis : Un homme retient dans son appartement sa fiancée et la torture. Elle est déshabillée, soumise à divers genres de bondage, fouettée et torturée avec une lame de rasoir. Il s'applique également à la coiffer et à la maquiller. Hanté par certaines humiliations vécues, il est également sujet à des crises de larmes et se replie sur lui dans la position foetale. Finalement, la fille parvient à se libérer et prend sa revanche.
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(1966)1h15Synopsis : Premier film commercial d'Adachi, parodie de films éducatifs sur la reproduction sexuelle. "Second réalisateur après Atsushi Yamatoya à réaliser son premier long métrage commercial chez Wakamatsu Productions, Adachi a achevé avec ce "pink" atypique un film traitant du sexe et de la reproduction. Notons à nouveau la présence de Sadao Marukido après "Quand l'embryon part braconner", dans le rôle du gynécologue délirant, et l'emprunt fait par le film aux méthodes des films éducatifs sur la sexualité dans un style rappelant les "geki-ga", ces mangas réalistes et violents des années 1960 et 1970.
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(1969)de Masao Adachi avec Eri Ashikawa, Kenji Fukuma, Masaaki Hiraoka1h12Synopsis : Trois lycéennes sur le point de passer leur examen final planifient secrètement de ruiner la cérémonie de remise des diplômes afin de se venger de l'école qui les a traitées comme des délinquantes. Deux camarades de classe qui ont découvert leur plan décident de se joindre à la rébellion. Elles volent tous les certificats de fin d'études, utilisent leurs charmes pour obtenir des armes des soldats de Jieitai et établissent leur base dans la montagne.
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1h141 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Mais où donc Masao Adachi veut-il en venir ... ?! Filmé avec les pieds, monté par un aveugle, on est loin du 7e Art ... ” — Arch_Stanton 29 septembre 2022
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(1973)Film d'animation, Drame | 1h27Arch_Stanton“ Entre Mucha et Tezuka, les turpitudes de la domination masculine se trouvent une esthétique unique. Objet animé unique et admirable ... ” — Arch_Stanton 14 mai 2023
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de Noboru Tanaka avec Junko Miyashita, Hideaki Ezumi, Eimei Esumi1h171 micro-critique | Sa note :Torrebenn“ Lente descente aux enfers et plongée dans la folie pour la femme-objet. L'instrument du désir masculin se rebelle et tranche pour se libérer ” — Torrebenn 19 août 2018
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1h171 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Même pas affriolante cette "Maison des perversités" n'éveille guère de sens et se vautre le plus souvent dans le grand-guignol ... ” — Arch_Stanton 25 avril 2022
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(2001)de Teruo Ishii avec Shinya Tsukamoto, Reika Hashimoto1h351 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Un film moche qui a -au minimum- 50 ans de retard sur la Nūberu Bāgu (la Nouvelle Vague japonaise). Sans aucune sorte d'intérêt ... ” — Arch_Stanton 6 décembre 2021
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(2004)de Takashi Ishii avec Aya Sugimoto, Renji Ishibashi, Misaki Mori2 micro-critiques | Sa note :Torrebenn“ A peu près que du cul, mais plutôt joliment mis en images. Vraiment joliment, pour une initiation sexuelle totalement déviante. ” — Torrebenn 24 mars 2019
1 commentaire
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Ochazuke22 septembre 2018 Voir la discussion...
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