Bertrand Mandico : formes, orgasmes et mutations

Bertrand Mandico : formes, orgasmes et mutations

Liste de 12 films par blacktide

| 29 vues

Classement personnel des films de Bertrand Mandico.

1

1

Les Garçons sauvages
(2017)

de Bertrand Mandico avec Vimala Pons, Elina Löwensohn, Sam Louwyck

1h50

53%
94 micro-critiques | Sa note :

blacktide
Sa note :

“ Phallus à perte, fruit à passion et couille de cœur. Conquérir la gaule et déflorer l'homme pour en révéler le trésor: sa perle, sa Femme. ” — blacktide 10 mars 2018
6 commentaires
2

2

Boro in the Box
(2012)

de Bertrand Mandico avec Elina Löwensohn, Norbert Brondeau, Valérie Moreau

40m

91%
4 micro-critiques | Sa note :

blacktide
Sa note :

“ Capter Borowczyk pour créer Mandico : protéiforme & fascinant, ce poème à l'homme-caméra bricole sa beauté dans sa singularité esthétique. ” — blacktide 1 juin 2020
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3

3

La résurrection des natures mortes
(2014)

de Bertrand Mandico avec Elina Löwensohn, Jean-Marc Montmont, Claudine Deborde

16m

46%
4 micro-critiques | Sa note :

blacktide
Sa note :

“ Trucages, illusions de vie ? Se mouvoir dans la mort pour créer une fantasmagorie de chair : lyrique & organique, audacieux & inclassable. ” — blacktide 1 juin 2020
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4

4

Ultra Pulpe
(2018)

de Bertrand Mandico avec Nathalie Richard, Elina Löwensohn, Lola Créton

37m

50%
13 micro-critiques | Sa note :

blacktide
Sa note :

“ Hors-norme de l'Édulcorant : érotisme de l'irréel maquillant les genres en cadres d'interdits. Les images restent, les corps (dé)périssent. ” — blacktide 13 juin 2018
3 commentaires
5

5

Y a-t-il une vierge encore vivante ?
(2015)

de Bertrand Mandico avec Elina Löwensohn, Eva Maloisel, Thomas Arnold

9m

30%
2 micro-critiques | Sa note :

blacktide
Sa note :

“ Incendier le regard, chercher la pureté & déflorer l'univers : de pucelle à putain, chimérique errance où la perversion contamine le mythe. ” — blacktide 1 juin 2020
3 commentaires
6

6

Notre-Dame des Hormones
(2015)

de Bertrand Mandico avec Michel Piccoli, Nathalie Richard, Elina Löwensohn

30m

42%
4 micro-critiques | Sa note :

blacktide
Sa note :

“ Dans cette campagne de pines, l'obsession dépasse le dégoût & la beauté donne la réplique à la crasse. Déstabilisante maîtrise du (dé)corps. ” — blacktide 1 juin 2020
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7

7

ExtaZus
(2019)

de Bertrand Mandico avec Elina Löwensohn, Sam Louwyck, Caroline Tilette

20m

2 micro-critiques | Sa note :

Synopsis : ExtaZus, écrivain d’heroic fantasy mégalomane et érotomane, subit d’abord la révolte de son héroïne principale, Nirvana Queen, puis la prise de pouvoir par une de ses lectrices, Peach Machine. Les deux femmes passent de l’autre côté du miroir de chair.
8

8

Hormona
(2015)

de Bertrand Mandico

49m

17%
2 micro-critiques | Sa note :

blacktide
Sa note :

“ Caresses d'orifices, érotisme macabre, extases pulpeuses: de l'intersexualité des formes, entretenir le déséquilibre & convoiter l'interdit. ” — blacktide 1 juin 2020
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9

9

Prehistoric Cabaret
(2014)

de Bertrand Mandico avec Elina Löwensohn, Katrín Ólafsdóttir, Magnús Ólafsson

10m

26%
3 micro-critiques | Sa note :

blacktide
Sa note :

“ Opérer une coloscopie du regard & disséquer l'image cachée du désir. Dans cet onirisme cronenbergien, la projection se mue en âpre carnage. ” — blacktide 1 juin 2020
5 commentaires
10

10

Depressive Cop
(2016)

de Bertrand Mandico avec Elina Löwensohn, Serguei Ivanov

12m

37%
2 micro-critiques | Sa note :

blacktide
Sa note :

“ Le crime était-il presque manqué ? Entre aberrations et perversions, entre influences et textures, le delirium de Mandico lasse. Superficiel ” — blacktide 1 juin 2020
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11

11

Féminisme, Rafale et Politique
(2013)

de Bertrand Mandico avec Elina Löwensohn

11m

11%
3 micro-critiques | Sa note :

blacktide
Sa note :

“ Ecouter sa voix, jouer ses émotions & se perdre dans l'acting : face à face, chercher un reflet, celui d'un Opening Night vain et corporel. ” — blacktide 1 juin 2020
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12

12

Souvenirs d'un montreur de seins
(2013)

de Bertrand Mandico avec Elina Löwensohn

8m

12%
4 micro-critiques | Sa note :

blacktide
Sa note :

“ Empoigner des nichons et mettre à nu une peau, un corps, une détresse, des sensations : au sein même de la muse, le pelotage tourne à vide. ” — blacktide 1 juin 2020
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