Avec ses grands yeux expressifs et sa rondeur, il représente l'une des présences les plus récurrentes du cinéma comique français. Il figure comme l'un des piliers du théâtre de boulevard français. Dans les années 1970, il avait une forte ressemblance avec Jacques Villeret. Il est surtout connu pour avoir commencé à jouer dans des comédies (dont plusieurs avec Louis de Funès et surtout dans bon nombre de nanars.
Francesca et Martin vivent, entre réalité et fiction, dans une joyeuse bohême. Et surtout au-dessus de leurs moyens. Ils occupent en effet un immense appartement à petit loyer qu'i...
Pourquoi Madame Rose Evangelista a-t-elle prématurément quitté la maison de retraite où Bélisaire et Prudence Beresford sont venus voir leur tante Ada ? Et pourquoi cette vieille d...
Le mercredi est le jour où les enfants n'ont pas école et restent à la maison. C'est aussi celui où les parents n'y sont pas. A Nantes, au printemps, une vingtaine de mioches âgés ...
Apres un hol-dup sanglant, dont il a gardé le butin, Alan Jefferson se réfugie aux Etats-Unis. Pour le faire revenir, ses complices mettent son frère Hervé sur le trottoir. Il reco...
Le personnage principal, nommé uniquement dans le titre, Gros Dégueulasse, est un homme sale, corpulent, mal rasé, répugnant, habillé d'un seul slip kangourou crasseux et surdimens...
Un policier de Las Vegas, Jerry Logan, vient passer quelques jours de congés en France chez son ex-femme. Mais, celle-ci s'est remariée à un petit escroc mêlé à un trafic d'oeuvre ...
Simone, aide ménagère dans la banlieue lyonnaise, s'occupe des cinq enfants de Robert, un chômeur que sa femme a quitté pour aller vivre à Paris. Voulant la retrouver, Robert emmèn...
Bob, séducteur impénitent, et Mammouth, son voisin solitaire et encombrant, partent en vacances dans le midi. Ils y retrouvent Viviane, une prof de dessin, et sa copine Ginette. Bo...
“ Farce burlesque régressive assez hallucinante où Menez, Villeret et Risch incarnent des bébés dans des décors à l'échelle. Parfait OFNI. ”— drorlof21 février 2014
“ Sympathique, mais pas plus emballant que çà. Mention spéciale à Maurice Risch déguisé en Jacques Villeret déguisé en imbécile ”— Lescogriffe29 juin 2016
“ Parodie d'espionnage parsemée de références directes et de mises en abyme du cinéma. Enfin, c'est quand même très simpliste et plutôt bête. ”— EdouardS19 juillet 2013
“ L’occupation nazie, le théâtre et l’amour ont en commun la nécessité de la dissimulation. Toutefois à la fin, un cri : « Plus de lumière ! » ”— elge15 septembre 2011