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Micro-critique star (Cladthom) :
Cladthom
(à propos de Darker than Midnight)
“ Riso pour son 1er film lorgne clairement vers le mamma roma de Pasolini mais sans la grâce ni le talent pour emporter. Misérabilisme lourd. ”
— Cladthom
15 mai 2014
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elge(à propos de Darker than Midnight)“ Une indéniable envie, fraiche, juvénile, arrogante, de ranimer l’imaginaire mélodramatique et baroque du grand cinéma italien. ” — elge 16 mai 2014
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Cladthom(à propos de Darker than Midnight)“ Riso pour son 1er film lorgne clairement vers le mamma roma de Pasolini mais sans la grâce ni le talent pour emporter. Misérabilisme lourd. ” — Cladthom 15 mai 2014
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Kikuchiyo(à propos de Darker than Midnight)“ A vouloir s'énerver, le réalisateur sombre dans la dureté complaisante du misérabilisme, dont même des touches d'humour ne l'extirpent plus. ” — Kikuchiyo 10 juin 2014
ceci dit, qu'on le trouve ou pas misérabiliste, bien ou mal étalonné, je confirme que j'ai bien ressenti cette envie Viscontienne de "visite guidée", Fellinienne de personnages "désinhibés", Pasolinienne de misérabilisme clinquant... etc etc..
Pou ce qui est des marginaux à l'identité sexuelle trouble, c'est surtout avec Almodóvar que la comparaison est sans appel. Lui t'en fait des personnages "bigger than life" en deux plans tandis qu'ils ne s'incarnent ici jamais en de vraies figures fascinantes et/ou attachantes.
Probablement que ma note du film est inversement proportionnelle à ma désolation devant la pauvreté du cinéma italien depuis la mort des grands des 30 glorieuses (1940 à 70)... même une minuscule envie de les retrouver me convient...