Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (Airone) :
Airone
(à propos de Le Petit soldat)
“ Dans cette lutte insensée, le Petit Soldat, entre virtuosité formelle et minimalisme anecdotique, cerne le désarroi d'une jeunesse éperdue. ”
— Airone
8 mars 2015
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Airone
(à propos de Le Petit soldat)
“ Dans cette lutte insensée, le Petit Soldat, entre virtuosité formelle et minimalisme anecdotique, cerne le désarroi d'une jeunesse éperdue. ”
— Airone
8 mars 2015
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cath44
commentaire modéré Encore une belle MC ! j'ai bien aimé ce film ....9 mars 2015 Voir la discussion... -
Airone
commentaire modéré Merci beaucoup ! Il faut dire qu'il est tellement fort et que certaines scènes sont tellement bien mises en scène et filmées (cf. celle de la séance photo, ou l'émouvant monologue final)... Et qu'à côté de ça, tout paraît en même temps si dérisoire derrière la caméra de Godard...9 mars 2015 Voir la discussion...
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Vilaboa
(à propos de Le Petit soldat)
“ Amoralisme impitoyable mais esthétique ! Une jeunesse activiste désespérée sur fond d'intrigues terroristes liées à la guerre d'Algérie... ”
— Vilaboa
17 janvier 2023
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Vilaboa
commentaire modéré Séance de photos d'une grâce infinie sur fond de musique de Haydn. Mais aussi, une séance de torture : la guerre clandestine, impitoyable.
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Vilaboa
commentaire modéré "la tragédie aujourd'hui, c'est la politique..." (...)
"La vie donne raison aux femmes, la mort aux hommes..." -
Vilaboa
commentaire modéré "J'aime la France parce que j'aime Joachim du Bellay et Louis Aragon !"
Dans ce film, on écoute de la musique classique, des livres traînent sur les meubles, l'on parle peinture et l'on assassine...
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LEtranger
(à propos de Le Petit soldat)
“ JLG filme l'âme de Subor et extrait la substance poétique de chaque chose : le ciel genevois, la voix de Karina, une conversation anodine. ”
— LEtranger
18 août 2015
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LEtranger
commentaire modéré Pour qui aime son cinéma, un Godard essentiel des "années Karina". Citant Cocteau, Aragon ("Mai qui fut sans nuage, et juin poignardé"), faisant parler un tableau de Paul Klee à travers l'image que renvoie le ciel genevois, filmant la beauté mystérieuse des façades d'immeubles illuminées baignant dans le ciel étoilé, nous offrant, d'un geste amoureux, le visage et le sourire d'Anna Karina, Godard confirme qu'il est avant tout un cinéaste-poète. Egalement un cinéaste visionnaire, prédisant la défaite française à venir dans le conflit algérien, et la disparition d'un idéal chez la jeunesse de ces années-là. Pour qui ouvre son coeur, beau à en pleurer.
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Laszlo Szabo
Georges De Beauregard
Jean-Luc Godard
Gilbert Edard
