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Micro-critique star (ReznikAlabama) :
ReznikAlabama
(à propos de Misery)
“ Effroyable huis-clos oppressant. Le pauvre Paul travaille d'arrache-pied pour prendre ses jambes à son coup et fuir sa terrible admiratrice. ”
— ReznikAlabama
17 février 2014
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ReznikAlabama(à propos de Misery)“ Effroyable huis-clos oppressant. Le pauvre Paul travaille d'arrache-pied pour prendre ses jambes à son coup et fuir sa terrible admiratrice. ” — ReznikAlabama 17 février 2014
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ReznikAlabama15 avril 2014 Voir la discussion...
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CYHSY17 mars 2015 Voir la discussion...
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ReznikAlabama17 mars 2015 Voir la discussion...
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danslecran(à propos de Misery)
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cath44(à propos de Misery)“ Claustration du corps et de l’esprit dans un huis clos haute tension. Terrifiante dérive de l’aliénation du lecteur à son héros littéraire. ” — cath44 22 septembre 2014
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cath44
Paul Sheldon est devenu prisonnier de son lectorat et doit s'exécuter sous une menace qui se transforme en sadisme. Les rapports de domination et de pouvoir célébrité/ s’inversent : le personnage actif devient passif et inversement. Dans ce film, l'horreur ne surgit pas du surnaturel mais de "l'humain" . Images en gros plans et en contre-plongées focalisées sur les deux protagonistes apportent un climat anxiogène tout comme la sensation de l’enfermement. Misery n'est pas seulement le nom du personnage qu’a inventé Paul Sheldon mais ce qu’il va subir : « misery » signifiant « souffrance » et « malheur ». La souffrance mentale de l’écrivain en panne d'inspiration va devenir souffrance physique. C'est une réflexion sur l’obsession compulsive de certains fans vis-à-vis de leur artiste préféré, et la pression qu'ils peuvent mettre de façon positive ou négative sur des œuvres.