La guerre d'indépendance lui est une école : il appartient, avec René Vautier et Mohamed Chanderli, à la première unité cinématographique du FLN. Il gagne Tunis : reportage et montage, courts métrages - dont il réalise un certain nombre après l'indépendance -, et participe ou dirige des films collectifs. Il adapte ensuite Thala, roman de Mouloud Mammeri (L'Opium et le Bâton, 1969) avec Marie-José Nat et Jean-Louis Trintignant, il réalise en France, sur un scénario de Rachid Boudjedra, un témoignage des travailleurs émigrés : Le Doigt dans l'engrenage. Il dirige l'ONCIC de 1967 à la fin de 1972.
Rachedi est devenu producteur indépendant à Rome. Il tourne en 1986 une comédie politique, Le Moulin de Monsieur Fabre, avec l'acteur Français Jacques Dufilho, et adapte en 1990 pour le cinéma et la télévision le roman d'Amin Maalouf Léon l'Africain.
Ali, un jeune Algérien auteur d'un attentat à Alger, quitte précipitamment la ville pour aller rejoindre le maquis. Mais il est déçu de constater que l'Armée de Libération National...
L'histoire de la nationalisation post-indépendance du moulin de Monsieur Fabre, un vieil homme attaché à la terre d'Algérie où il est né. Dans cette petite ville de l'Est algérien,...
Ali, un grutier algérien, prend avec philosophie les brimades dont sont victimes les immigrés comme lui. Son existence change radicalement le jour où il gagne à la loterie.
Le Doigt Dans L'Engrenage est un film d'Ahmed Rachedi, écrit par Rachid Boudjedra mêlant fiction, documents filmés et interviews qui raconte l'arrivée à Paris d'un immigré algérien...
Pendant la Guerre d'Algérie, le docteur Lazzak quitte Alger pour rejoindre son village natal, Thala. S'y affrontent maquisards et occupants, bouleversant la vie quotidienne des hab...
Film pamphlet. Réquisitoire anticolonialiste sur l’histoire de l’Afrique. Dans une capitale colonisée, des étudiants de disciplines diverses mettent en scène les propos des conteur...
Sous l'égide de René Vautier, directeur du Centre Audiovisuel d'Alger, de jeunes cinéastes algériens braquent librement leurs caméras sur le passé, le présent et aussi l'avenir qu'...
“ Avec les codes et le souffle des grands films, "L'Opium et le Bâton" nous emmène dans les épineux maquis de la guerre anti-coloniale.” ”— Duval_MC 1 juin 2015
“ Fresque patriotique à grands moyens, un peu maladroite. L'Algérie se penche avec une rapidité admirable sur sa lutte pour l'Indépendance. ”— Arch_Stanton27 août 2015
“ La forme est belle mais le propos peu nuancé, écrasé sous le manque d'objectivité d'un discours algérien patriote à l'excès. ”— Cypri3n13 février 2014