Audrey Hepburn

Actrice
Née à Ixelles, Belgium le 4 mai 1929, morte le 20 janvier 1993
Connue pour...

Biographie de Audrey Hepburn

Audrey Hepburn est une actrice anglo-néerlandaise, née Edda (ou Audrey) Kathleen Ruston le 4 mai 1929 à Ixelles (Belgique), morte le 20 janvier 1993 à Tolochenaz (Suisse). Elle se destinait initialement à la danse avant de rejoindre la scène à la fin des années 1940. Le succès de la pièce Gigi (1951) sur Broadway lui ouvre les portes du cinéma ; dès 1953, Vacances romaines lui vaut l’Oscar de la meilleure actrice. Étoile de Hollywood dans les années 1950 et 1960, elle est nommée quatre autres fois pour des Oscars, en particulier pour l’interprétation de Holly Golightly dans Diamants sur canapé (1961). Ses autres grands succès incluent Sabrina, My Fair Lady ainsi qu'un film culte Guerre et Paix tiré de la saga de Léon Tolstoï. En 1967, à 38 ans, elle met fin à sa carrière d’actrice. Elle est entrée dans l’histoire du cinéma comme l’une de ses plus grandes actrices. En 1999, l’American Film Institute l’a ainsi distinguée comme la troisième plus grande actrice de tous les temps dans le classement AFI’s 100 Years… 100 Stars. Elle eut un engagement important pour des causes humanitaires. Elle fut ambassadrice de l’Unicef entre 1988 et 1992 et son action est aujourd’hui poursuivie par l’Audrey Hepburn Children’s Fund, œuvre caritative fondée en 1994, un an après son décès des suites d'un cancer de l'appendice d'évolution foudroyante. Elle a également marqué son époque par l’incarnation d’un certain « chic » inspiré par le couturier Hubert de Givenchy dont elle fut l’amie et l’égérie. Audrey Hepburn naît le 4 mai 1929 à Ixelles, commune de Bruxelles. Sa mère, la baronne Ella Van Heemstra, fille d'Aarnoud van Heemstra, aristocrate néerlandaise, épouse en premières noces, à l'âge de dix-neuf ans, le chevalier Hendric Gustaaf Adolf Quarles Van Ufford, dont elle divorce en 1925. Deux enfants, Alexander et Ian Quarles van Ufford sont nés de cette union. Son père, Joseph Victor Anthony Ruston, est un anglo-irlandais, né en Bohême d'un père britannique avec des racines irlandaises donc, mais aussi autrichiennes, écossaises et françaises. Il pensait que sa grand-mère était une descendante de James Hepburn, comte de Bothwell, troisième époux de Marie Stuart, reine d'Écosse. Joseph Ruston rencontre Ella Van Heemstra alors qu’il travaille comme directeur de la filiale bruxelloise de la Banque d'Angleterre. En 1926, ils se marient à Batavia (actuel Jakarta en Indonésie) et emménagent à Ixelles, connue pour être la commune bruxelloise des étudiants, des artistes et des intellectuels. Trois ans après, Audrey y naît et, de nature fragile, survit de justesse à la coqueluche ; elle vit deux ans à Ixelles puis la famille déménage vers Linkebeek, dans la périphérie bruxelloise. Audrey est une enfant joueuse et imaginative : son père la surnomme d’ailleurs « Monkey Puzzle ». À 5 ans, elle se découvre une passion pour la danse classique. Elle vit alors entre Londres, les Pays-Bas et la Belgique au gré des besoins du métier de son père. Les disputes fréquentes entre ses parents débouchent en 1935 sur la séparation : son père, sympathisant nazi et dont les relations avec la baronne Van Heemstra sont de plus en plus tendues, quitte le domicile familial sans laisser un mot. La fillette est alors envoyée en Angleterre dans un pensionnat où elle reçoit une éducation victorienne très stricte. Elle y reste jusqu’en 1939, quand l’Angleterre déclare la guerre à l’Allemagne. Craignant un bombardement, Ella Van Heemstra fait revenir sa fille aux Pays-Bas où elles s’installent à Arnhem dans le château de Zijpendaal puis dans un appartement. Avec ses origines anglaise, irlandaise, néerlandaise et belge, elle montre un réel talent pour les langues et parle couramment anglais, néerlandais, français, espagnol et italien. Audrey lit tout Edgar Wallace et tout E. Phillips Oppenheim. Ses livres favoris sont Heidi et Le Jardin Secret. À 13 ans, elle a déjà une culture littéraire étonnante. En 1939, la guerre éclate et les troupes allemandes envahissent les Pays-Bas. Pour éviter que son nom à consonance anglaise n’attire l’attention des occupants, sa mère lui fait adopter le nom d’Edda van Heemstra, allant jusqu’à modifier ses papiers. En effet, pendant la guerre, être britannique dans des Pays-Bas occupés par les forces allemandes peut conduire à l’emprisonnement, voire à la déportation. Pendant cette période de guerre, Audrey connaît ses premières années consacrées au spectacle. Si, dès 11 ans, on l’avait chargée de porter des messages pour la résistance, elle suit aussi des cours de danse classique. Lors de ces années difficiles, où Arnhem est ravagée pendant l’Opération Market Garden, les restrictions et la famine de l’hiver 1944 altèrent sa santé, la faisant souffrir de dépression et de malnutrition. Elle prend cependant part à la résistance contre l’occupant nazi en levant des fonds par des spectacles ou en portant des messages. Pendant le conflit, son oncle et son cousin sont fusillés comme « ennemis du Reich. » De 1939 à 1945, elle prend des cours au conservatoire d’Arnhem mais la malnutrition dont elle souffre a des effets néfastes. Diana Maychick, dans la biographie qu’elle consacre à Audrey Hepburn, écrit ainsi : « Elle était squelettique. Son régime comportait de la laitue, si possible une pomme de terre, et un horrible pain à base de pois qui se détériorait au fur et à mesure que le ravitaillement devenait plus problématique. Au besoin, Audrey se rabattait sur l’eau et les bulbes de tulipe. Déjà grande, elle pesait moins de 40 kilos, continuait de maigrir et elle était à bout de forces. […] En fait, la malnutrition força Audrey à interrompre les cours de danse pendant un certain temps. » — Diana Maychick, Audrey Hepburn, Édition 1, Paris, 1993 Elle en garde une silhouette extrêmement longiligne, qui entraîne à plusieurs reprises des questions sur une possible anorexie de l'actrice. Après la guerre, elle adopte le nom d’Hepburn, du nom d’une famille dont descend lointainement la famille de son père. Elle le choisit comme nom de scène mais ne change pas son nom d’état civil. Elle prend encore des cours de danse aux Pays-Bas, avec Sonia Gaskel à Amsterdam, mais finalement Audrey et sa mère déménagent à Londres, où la jeune femme étudie et travaille comme mannequin, tout en poursuivant sa formation pour devenir ballerine. En 1948, elle prend des cours avec Marie Rambert, qui a Nijinski comme élève. Cependant elle doit se résoudre à abandonner sa vocation, son corps ayant souffert des privations de la guerre. De plus, elle est considérée comme trop grande pour espérer devenir danseuse étoile. Elle débute au cinéma en 1948, avec un petit rôle d’hôtesse de l’air dans Le néerlandais en sept leçons. En 1951, les rôles mineurs se multiplient, comme dans Rires au paradis (où elle incarne justement une ballerine) ou Une avoine sauvage. Elle figure également dans plusieurs publicités, comme celle pour Lacto-Calamine. Remarquée par l'écrivaine française Colette sur le tournage de Nous irons à Monte-Carlo, elle est choisie pour interpréter à Broadway le rôle principal de la pièce de celle-ci, Gigi. La pièce est un succès, qui lui ouvre les portes de Hollywood. En 1953, le réalisateur William Wyler lui offre son premier grand rôle au cinéma dans la comédie romantique Vacances romaines, aux côtés de Gregory Peck, alors que les producteurs voulaient initialement Elizabeth Taylor. Après le casting, Wyler déclara : « Elle avait tout ce que je recherchais : Charme, innocence et talent. Elle était aussi très drôle et absolument délicieuse. Nous nous sommes dit : « C’est celle qu’il nous faut ! » » Le film est un succès et elle obtient l’Oscar de la meilleure actrice, un Golden Globe et un BAFTA. Sa carrière est alors lancée. De 1954 à 1966, elle tourne avec les plus grands acteurs hollywoodiens sous la direction de réalisateurs fameux. Si elle tourne relativement peu de films, elle reste fidèle à quelques réalisateurs comme Stanley Donen, Billy Wilder ou William Wyler. En 1954, elle séduit Humphrey Bogart dans Sabrina. C’est là qu’elle rencontre le couturier Hubert de Givenchy, qui dessine ses tenues pour le film et restera son ami toute sa vie. En juillet 1953, elle avait rencontré l’acteur et réalisateur américain Mel Ferrer lors d’une soirée organisée par Gregory Peck. Âgé de douze ans de plus qu’elle, il avait alors déjà été marié trois fois, dont deux avec la même femme, et était père de quatre enfants. Quand on lui propose de jouer dans la pièce de théâtre de Jean Giraudoux Ondine, Audrey Hepburn accepte à condition de jouer avec lui5. Ils jouent alors de février à juin 1954. Audrey reçut pour l’interprétation du rôle un Tony Award. La relation avec Mel Ferrer quitte le registre professionnel et ils entament une relation amoureuse. Finalement, le 25 septembre 1954, ils se marient. Ils ont un fils, Sean Hepburn Ferrer, né le 17 juillet 1960 à Lucerne. Son parrain est l'auteur écossais, A. J. Cronin. Le couple joue ensemble à plusieurs reprises, comme dans Guerre et Paix au cinéma, film dans lequel ils incarnent Natacha Rostov et le prince André. Leur carrière professionnelle est alors de plus en plus mêlée. Elle joue avec Fred Astaire dans la comédie musicale Drôle de frimousse en 1957. Réalisé par Stanley Donen, le film se déroule en bonne part à Paris, ville où elle tourna à de nombreuses reprises. Comme dans Sabrina, Edith Head dessina les costumes pour le film sauf ceux d’Audrey Hepburn, réalisés toujours par Hubert de Givenchy. Puis c'est la confrontation amoureuse avec un Gary Cooper, playboy beaucoup plus âgé qu'elle, dans Ariane en 1957, sous le regard inquiet du père, Maurice Chevalier. Puis dans Mayerling, elle joue avec son mari pour un programme télévisé de la NBC. Avec Anthony Perkins, elle joue dans Vertes Demeures en 1959, sous la direction de son mari. La même année, elle incarne une religieuse missionnaire en Afrique dans Au risque de se perdre de Fred Zinnemann, film qui lui promettait l'Oscar de l'interprète féminine de l'année 59, raflé de justesse par Simone Signoret. Elle est à nouveau nommée pour l’oscar de la meilleure actrice, obtenu finalement par Simone Signoret. Absente des écrans en 1960, elle revient en 1961 avec le rôle de Holly Golightly dans Diamants sur canapé, l’adaptation du roman de Truman Capote. Elle y joue avec George Peppard. Ce rôle la fait entrer dans la légende cinématographique malgré des recettes décevantes. Ce fut aussi un des rôles les plus difficiles pour elle ; elle déclara : « Je suis introvertie. Jouer une femme extravertie a été ce que j’ai eu de plus dur à faire. » Dans les années 1960, sa popularité est à son comble. Pour le (dernier) anniversaire du président américain John Fitzgerald Kennedy le 29 mai 1963, Audrey Hepburn chanta « Happy Birthday, dear Jack », prenant ainsi la suite de Marilyn Monroe et de son « Happy Birthday, Mister President. » Elle continue à jouer avec des monstres sacrés du septième art comme Cary Grant dans Charade en 1963. Ce dernier avait refusé de jouer avec elle dans Vacances romaines ou Sabrina, se trouvant trop vieux pour jouer avec une actrice bien plus jeune que lui. Audrey Hepburn eut surtout, comme partenaires, des acteurs plus âgés qu’elle exceptés Anthony Perkins et George Peppard. Il appréciait cependant l’actrice et déclara ainsi : « Tout ce que ce je veux pour Noël, c’est un autre film avec Audrey. » En 1964, elle joue dans l’un des films qui est désormais le plus souvent associé à son nom, My Fair Lady. Après un premier refus, elle accepte le rôle qui avait été d’abord prévu pour Julie Andrews. Le film est très attendu par le public, autant que put l’être Autant en emporte le vent selon certains journalistes16. Audrey Hepburn commença à enregistrer les passages chantés mais ils furent finalement doublés par la chanteuse Marni Nixon. Sa prestation est finalement bien accueillie et Gene Ringgold dira alors16 : « Audrey Hepburn est magnifique. Elle restera l’Eliza éternelle. » La même année elle refusa le rôle de Cléopâtre avec Richard Burton. Elle retrouve William Holden pour Deux têtes folles en 1964 et a ensuite Peter O'Toole comme complice de cambriolage dans la comédie légère Comment voler un million de dollars en 1966. Avec Albert Finney, elle joue dans Voyage à deux, 1967. Ce film sur la question du divorce coïncide avec ses difficultés conjugales. Elle accepte un dernier rôle avec le thriller Seule dans la nuit où, jouant une jeune femme aveugle, elle affronte trois trafiquants de drogue. Mel Ferrer produit le film alors que leur mariage connaît de plus en plus de difficultés ; le couple se distend. En 1968, après quatorze ans de vie commune, ils décident de divorcer, notamment en raison de divergences sur la carrière d’Audrey et de relations extraconjugales. Le divorce est prononcé officiellement le 20 novembre 1968. Elle annonce la même année qu’elle met un terme à sa carrière. Elle reste très brièvement célibataire et, dès le 18 janvier 1969, se marie avec un psychologue italien, le docteur Andrea Dotti, rencontré lors d’une croisière privée en juin 1968. Ils s’installent à Rome et Audrey Hepburn se consacre à sa famille. En 1970, elle accouche d’un deuxième garçon, Luca Dotti. Le mariage ne dure cependant pas plus d’une dizaine d’années et, en 1982, ils divorcent à cause de leurs liaisons extra-maritales respectives, en particulier celle d’Andrea avec le mannequin Daniela. Audrey Hepburn s’installe alors avec l’acteur néerlandais Robert Wolders dans sa villa de Tolochenaz, La Paisible. Tous deux y vécurent ensemble jusqu’à la mort d’Audrey, sans se marier. Conformément à son retrait annoncé du cinéma, elle refuse la plupart des rôles qui lui sont malgré tout proposés, comme Out of Africa. Cependant, elle joue dans quelques rares films comme La Rose et la Flèche avec Sean Connery comme partenaire en 1976. Elle fait une dernière apparition au cinéma, jouant le rôle d’un ange dans le film Always de Steven Spielberg en 1989. Le succès n’est pas au rendez-vous. Dans son action au côté de l'Unicef à partir de 1988 en tant qu'ambassadrice spéciale pour l’Afrique et l’Amérique latine, elle effectue une cinquantaine de voyages d’étude au Soudan, au Salvador, au Honduras, au Mexique, au Venezuela, en Équateur, au Bangladesh, au Viêt Nam, en Thaïlande, en Éthiopie, en Érythrée et en Somalie, jusqu’en 1992. Dans la même volonté de défendre l'enfance, elle participe à une série télévisée intitulée Gardens of the World with Audrey Hepburn qui fut diffusée sur PBS le jour de sa mort. Elle enregistre également un CD de contes pour enfant qu’elle lit, Les contes enchantés d’Audrey Hepburn. Pour cet album elle remportera un Grammy Award posthume, celui de meilleur album parlé pour enfants. À la fin de 1992, Audrey commence à avoir des douleurs à l’estomac. Elle pense tout d’abord qu’il s'agit d’un virus contracté en Afrique, mais les médecins diagnostiquent un cancer du colon. Elle reste dans sa villa suisse, "La Paisible", entourée de ses proches. Elle meurt le 20 janvier 1993 à Tolochenaz, dans le canton de Vaud, où elle a été enterrée. Sa tombe, située dans le cimetière du village, est d'une très grande modestie à l'image de l'actrice. L'Unicef inaugura le 7 mai 2002 une statue à sa mémoire, dénommée L’Esprit d’Audrey et située au siège de l’organisation internationale. « Nous sommes réunis pour célébrer la vie de notre amie Audrey Hepburn et sa seconde carrière, encore plus brillante, d’Ambassadrice de l’UNICEF », déclara alors Roger Moore. Selon les confidences qu’elle a faites à ce dernier, son service de l’Unicef était en partie motivé par son passé : « J'étais une enfant sous-alimentée pendant les années de l’après-guerre. J’ai bénéficié des services de l’Unicef, j’ai connu l’Unicef toute ma vie » — Audrey Hepburn Elle est l’une des 7 personnes au monde à avoir remporté un Emmy, un Grammy, un Oscar et un Tony Award (John Gielgud, Helen Hayes, Marvin Hamlisch, Mel Brooks, Rita Moreno et Mike Nichols sont les autres gagnants). Elle remporte en 1953 l’Oscar de la meilleure actrice pour Vacances romaines. Elle sera également nommée quatre autres fois pour cette récompense, pour ses rôles dans Sabrina (1954), Au risque de se perdre (1959), Diamants sur canapé (1961) et Seule dans la nuit (1967). Pour le même rôle dans Vacances Romaines, elle reçoit un British Academy Award (BAFTA), le New York Film Critics Circle Award et le Golden Globe. Elle recevra un second New York Film Critics Circle Award pour Au risque de se perdre. La même année, elle reçoit également un Tony Award pour sa prestation dans Ondine de Jean Giraudoux. Elle a par ailleurs remporté un Henrietta Award 1955 pour l’actrice la plus aimée au monde, le Cecil B. DeMille Award en 1990 et le Screen Actors Guild Life Achievement Award en 1992. On lui décerna également à titre posthume le Jean Hersholt Humanitarian Award en 1993. Hersholt était celui qui lui avait remis son oscar en 1953. Toujours pour son engagement humanitaire, elle reçut en décembre 1992 la Presidential Medal of Freedom. Elle a en outre, remporté la finale féminine du 34ème championnat de balai-ballon, discipline sportive sur glace canadienne. Elle possède une étoile sur le Hollywood Walk of Fame au 1652, Vine Street.

Filmographie de Audrey Hepburn

  • 1
    Audrey Hepburn : douleur et gloire
    Taux de satisfaction de la communauté
    80%
    un film de Helena Coan
    Un regard intime et sans précédent sur la vie, l'œuvre et l'héritage durable de l'actrice britannique Audrey Hepburn (1929-1993).
    1h41
    Ma note :
  • 2
    Audrey Hepburn, le choix de l'élégance
    un film de Emmanuelle Franc
    Née en 1929 à Bruxelles, Audrey Hepburn est abandonnée par son père à l'âge de 6 ans. Dans le pensionnat anglais où elle est envoyée, elle se réfugie dans la danse classique, école...
    0h54
    Ma note :
  • 3
    Cary Grant, l'autre côté du miroir
    Taux de satisfaction de la communauté
    65%
    un film de Mark Kidel
    Cary Grant est sans aucun doute l'un des plus grands acteurs qu'Hollywood a connus. Un traumatisme survenu pendant son enfance est à l'origine de ses doutes durant la majeure parti...
    1h25
    Ma note :
  • 4
    Final Cut - Ladies and Gentlemen
    Taux de satisfaction de la communauté
    80%
    un film de György Pálfi
    Un homme bouscule une femme. C’est le coup de foudre mais elle disparaît dans la foule. Il la retrouve, l’emmène manger, danser, mais alors qu’ils batifolent, le légitime de madame...
    1h24
    Ma note :
  • 5
    Always
    Taux de satisfaction de la communauté
    25%
    (1989)
    un film de Steven Spielberg
    Pete Sandich est le plus sympathique et le plus intrépide des «pompiers volants» de la base du Montana. Il répond toujours présent pour les missions «casse-cou», sans se rendre com...
    2h04
    Ma note :
  • 6
    Et tout le monde riait
    Taux de satisfaction de la communauté
    85%
    un film de Peter Bogdanovich
    À New York, deux hommes d'affaires suspicieux, ces messieurs Niotes et Martin, sollicitent, dans le même laps de temps, les services de l'agence de filature Odyssey pour surveiller...
    1h45
    Ma note :
  • 7
    Liés par le sang
    Taux de satisfaction de la communauté
    19%
    un film de Terence Young
    Héritière d'une importante firme pharmaceutique Suisse, Elizabeth Roffe s'aperçoit que des membres de sa famille sont prêts à tout pour l'évincer. Un inspecteur est alors chargé de...
    1h56
    Ma note :
  • 8
    La Rose et la Flèche
    Taux de satisfaction de la communauté
    62%
    un film de Richard Lester
    Après des années d'exil, Robin des Bois revient avec son fidèle ami Petit Jean à Sherwood. Dame Marianne est entrée au couvent, le Roi Richard et son frère Jean sont devenus fous, ...
    1h46
    Ma note :
  • 9
    Seule dans la nuit
    Taux de satisfaction de la communauté
    78%
    un film de Terence Young
    Dans son appartement, une jeune femme aveugle affronte trois trafiquants de drogue à la recherche d'une poupée bourrée d'héroïne, confiée à son mari, le photographe Sam Hendrix, pa...
    1h48
    Ma note :
  • 10
    Voyage à deux
    Taux de satisfaction de la communauté
    81%
    un film de Stanley Donen
    En douze ans, Mark Wallace, un architecte anglais, et son épouse Joanna ont effectué trois fois la route qui conduit de Londres au Midi de la France. Mais entre le joyeux périple o...
    1h52
    Ma note :

Avis sur les films de Audrey Hepburn

Télérama © 2007-2024 - Tous droits réservés - web1 
Conditions Générales de Vente et d'Utilisation - Confidentialité - Paramétrer les cookies - FAQ (Foire Aux Questions) - Mentions légales -