Bahman Ghobadi commence dans le monde du cinéma par la réalisation de quelques courts métrages, dans un centre pour les jeunes qui ont une ambition dans l'audiovisuel. Il obtient d'ailleurs un Bachelor of Art à l'Iranian Broadcasting College. Il continue ensuite à tourner des court-métrages en 8 mm, Betacam et 16 mm. Il tourne une dizaine de courts métrages entre 1995 et 1999. Ses efforts seront récompensés par de nombreux prix dans des festivals internationaux, dont le prix spécial du jury du festival de Clermont-Ferrand, pour Vivre dans le brouillard. En 1999, il met en scène son premier film : Un temps pour l'ivresse des chevaux. Son film est couronnée par la « Caméra d'Or » au Festival de Cannes 2000. En 2002, il tourne avec Les chants du pays de ma mère qui fera partie du jury de la Caméra d'Or à Cannes.
A leur sortie de prison, une jeune femme et un jeune homme musiciens décident de monter un groupe. Ils parcourent Téhéran à la rencontre d'autres musiciens underground et tentent d...
Mamo est un vieux musicien kurde de grande renommée qui vit au Kurdistan iranien. Depuis la prise de pouvoir par Saddam Hussein, il n'a pas eu le droit de donner de concert au Kurd...
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Au Kurdistan iranien, pas loin de la frontière avec L'Irak, après un bombardement, des instituteurs se rendent dans des villages pour chercher des élèves. Un instituteur rencontre ...
Au Kurdistan iranien, près de l'Irak, une famille de cinq frères et soeurs vit tant bien que mal. Le plus jeune frère est atteint d'une maladie grave mais l'opération coûte trop ch...
Des etrangers en provenance de Teheran arrivent pour un court sejour a Siah Dareh, un village du Kurdistan iranien. Les habitants ignorent la raison de leur venue. Les etrangers fl...
“ Un temps pour glisser de la fiction au documentaire : le style épuré de Ghobadi confère à cette fable funèbre une force de vérité frappante. ”— A_Nos_Amours12 novembre 2014
“ Avec ce film, Ghobadi s'impose de loin comme le peintre le plus brillant d'une nation oscillant entre lois de la nature et envie d'avancer. ”— tomsias 7 janvier 2013
“ Dans ce poème noir, Ghobadi retrouve par instants la grandeur du néoréalisme‚ un regard sincère et sans faille sur la dignité d’un peuple ! ”— georges.b116 juillet 2018
“ Kiarostami enregistre le temps, la durée comme s'il pouvait l'échapper de la mort. Avec un amour infini de la vie. Lyrique et sidérant. ”— DartsOfPleasure 9 octobre 2013