Évocation très libre de la vie de la carmélite Thérèse de Lisieux, qui meurt de la tuberculose en 1897 et connaît l'épreuve spirituelle du doute (déréliction) avant de mourir.
Trois voleurs minables rivalisent d'ingeniosite pour percer le mur des toilettes de la gare de l'Est et ouvrir le coffre de la caisse de retraite de la SNCF.
Châtelain ruiné, aigri et tyrannique, le comte Hector de Clérambard, s'est condamné, ainsi que sa famille, à travailler comme un forçat pour conserver son château qui tombe en ruin...
“ Je crois en toi "THERESE" , mais seulement accompagné de ton Cavalier. Ce chef d'oeuvre m'a bouleversé jusqu'au plus profond de moi-même ”— ProfilSupprime15 juin 2013
“ Silences,abandon, mise en suspension de la chair et sur le lumineux visage de Thérèse,l’exil de soi dans l’osmose sensuelle avec son Dieu. ”— cath4428 octobre 2013
“ Mise-en-scène et actrice qui rendent complètement sensible l'exaltation joyeuse de cette austérité choisie et de cet érotisme vertical. Fort ”— ilmra 7 février 2015
“ Dieu est sur l'épaule d'Alain Cavalier quand il filme et dans les yeux de Catherine Mouchet quand elle évoque sa foi. Sublime aura. ”— tomsias28 avril 2013